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01/12/2008

Sur le thème "Comment réussir la maîtrise des dépenses de santé tout en pérennisant l'efficacité de notre système"

Voici la contribution de Jean Marie BODIN, infirmier libéral à Saint Jean de Luz

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 1°) ce n'est pas un scoop mais le secteur publique hospitalier est un gouffre de dépense pour une raison bien naturelle, c'est qu'il y a une déresponsabilité du personnel ce que l'on ne retrouve pas dans le secteur privé qui est obligé de veiller non seulement aux coûts mais aussi à la qualité des soins rendus aux patients sinon ces même patients partent dans un autre centre de soins. Toutes les études le montrent le secteur de soins privé coûte entre 25 et 30% de moins que celui du publique .

Dans le secteur de l'hémodialyse une récente étude montre que le coût annuel d'un patient dialysé en centre d'auto dialyse par une infirmière libérale est de 49133euro (41853 de dialyse et 7280 de transport ) alors que le même patient dialysé en centre hospitalier est de 111106 euros (97796 de dialyse et 13310 de transport ) on voit bien là que le rapport est du simple au double . Comment peut on faire perduré cette gabgie là.

 

2°) Pour ce qui est des médicaments ne pourrait on pas faire comme chez certains de nos voisins anglo saxons c'est à dire de ne distribué que le nombre exacte de medicaments selon la prescripton établie ?

Voilà 2 idées que je voulais vous soumettre

 

29/11/2008

Diner-Rencontre de la Branche des Pyrénées Atlantiques

Pour ce mois de Novembre  il s'agissait de répondre à la problématique du « comment réussir la maîtrise des dépenses de santé tout en pérennisant l'efficacité de notre système ? »

Furent abordés par les adhérents des Pyrénées Atlantiques tant les problèmes de la difficile gestion des services d'urgences souvent détournées de leur fonction essentielle, du consumérisme excessif de médicaments, du coût élevé de la fabrication de ceux-ci, de la prise de conscience du "qui finance quoi " entre part patronale et part salariale, a noter a ce sujet la contribution de Mr GEORGES BENOIT , qui propose un  modèle de feuille de paie plus lisible.

Si la situation de notre système peut parfois paraître assez sombre,les contributions de nos adhérents et sympathisants, ont rapidement démontré l'existence de véritables solutions.

Pour Le Chêne, il est naturellement évident qu'il s'agira toujours de permettre le bon fonctionnement de notre système de santé par la mise en oeuvre de solutions novatrices. Une solidarité, vis à vis de l'ensemble de nos compatriotes, toujours voulue et affirmée par le Général de Gaulle et par ceux qui revendiquent le message et la fibre gaulliste.

 

Pour conclure ces travaux , un diner rencontre a cloturé  le thème du mois

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Avec Jean Charles MENDIELA 

 

IMG_0268w.jpgUne cinquantaine de personnes ont assité au diner

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L’ensemble des contributions départementales produites par les membres du Chêne des

Pyrénées Atlantiques sera remise au Secrétaire Général du Chêne, Michaël BULLARA, puis transmise à la Présidente du Chêne Michèle ALLIOT MARIE.

 

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Un grand merci à  Michel HIRIART, Maire de Biriatou, Président de la communauté de communes, Président des Maires des Pyrénées Atlantique, et à  Guy POULOU, Maire de Ciboure, de nous avoir fait l’amitié d’assister a notre diner

24/11/2008

Sur le thème "Comment réussir la maîtrise des dépenses de santé tout en pérennisant l'efficacité de notre système"

Voici la contribution de Gérard BALARDELLE

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Un constat, notre système de santé va à vau-l’eau et ce depuis plusieurs années, les différentes actions menées jusqu’à ce jour n’ont rien données « emplâtre sur une jambe de bois » et en plus « chargent » les mutuelles et assurances complémentaires de santé.

 

Plusieurs causes incitent à modifier de fond en comble notre régime :

-          augmentation des dépenses (vieillissement de la population, augmentation et non contrôle de la CMU, laisser-aller des personnels de santé – médecins, infirmiers, transports sanitaires - de la gabegie dans la chaîne de soins – hôpitaux, cabinets libéraux, gestion inadaptée des personnels des organismes, amélioration des procédés de détection et de recherche des maux d’où augmentation des soins,  …)

-          intégration au régime général des différents régimes, qui ne doivent pas se faire à son détriment.

  

Il est urgent et impératif de bien cerner :

 

- les dépenses à tous les niveaux (fonctionnement, soins, ayants droits, passes droits

   …), il faut se poser ces questions et bien d’autres :

o        est-il normal de prendre en charge au titre de la CMU et du régime complémentaire les étrangers en situation irrégulière

o        est-il normal de prendre en charge au titre de la CMU et du régime complémentaire les nationaux sans aucun contrôle

o        est-il normal de prendre en charge à priori gratuitement des personnalités étrangères

o        est-il normal de prendre en charge à priori gratuitement, hors procédure « normale » des personnalités nationales

o        d’assurer et d’adapter la gestion au plus juste des personnels, …

o        d’assurer des contrôles strictes auprès des prescripteurs, des paramédicaux, des utilisateurs, …)

 

- les recettes (entreprises, gouvernement, autres régimes …)

- faire rentrer tous les impayés

- facturer toutes les prestations

 

- existe-t-il un bilan comptable digne de ce nom ?

 

En parallèle, il faut de façon drastique épurer le déficit une bonne fois pour toute, en établissant un échéancier pluriannuel sur 5 à 10 ans au maximum.

Pour ce faire, prélever sur tous les revenus (CSG, GRDS) un pourcentage provisoire

adapté.

 

Puis :

                         

            - bannir totalement la gratuité, adapter les relevants de la « gratuité »

au même régime que les assurés du régime général (application de : parcourt    coordonné – médecin traitant -, 1 € à chaque visite, 0.50 € sur chaque boîte de médicament)

- accentuer les contrôles par l’utilisation, comme le permet la législation, du

  croisement des différents fichiers et par tous autres moyens adaptés,

 

- accentuer les contrôles sur le terrain,

 

- personnaliser la carte « Sécurité Sociale » par la photographie,

 

- adapter annuellement les recettes (toujours par prélèvement sur tous les revenus

 - CSG, CRDS spécifique) aux dépenses (n -1), secteur par secteur,

      

- supprimer les autres cotisations actuellement dédiées (voir les bulletins de salaires)  

 

- publier annuellement un bilan comptable, secteur par secteur, non pas deux ou trois

  ans après, mais obligatoirement dans les trois mois de la clôture de l’exercice.

 

  

 

Ces éléments ne sont pas très populaires politiquement mais doivent courageusement être pris, le retour ne peut être que bénéfique pour tous.

A mon sens ces dispositions auraient dues être mises en place dès le début du mandat mais, il n’est pas trop tard.

 

 

 

SOYONS TRÉS COURAGEUX, LA PÉRENNISATION DE NOTRE SYSTEME DE SANTE EST Á CE PRIX

 

 

 

 

23/11/2008

Michele Alliot-Marie: le problème du PS est celui du "positionnement idéologique"

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PARIS (AFP) — La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a estimé dimanche sur Europe 1 que le PS rencontrait "un problème de positionnement idéologique", entre ceux "tournés vers le vieux parti" et "ceux qui veulent autre chose".

"Il y a un problème au sein du parti socialiste qui est un problème de positionnement idéologique, de choix. Finalement, (il y a) à la fois ceux qui restent tournés vers le vieux parti socialiste, très à gauche assez inspiré du marxisme, et puis d'autres qui voudraient sans doute faire quelque chose d'autre", a affirmé la ministre, qui a été la première femme à diriger un parti politique en France, en l'occurence le RPR.

"Je note que pour les élections internes du RPR puis de l'UMP, nous n'avons jamais eu ce genre de psychodrame qui tourne tantôt à la tragédie, tantôt à la comédie. Nous avons toujours eu des règles qui étaient respectées et non contestées", a-t-elle souligné.

"Martine Aubry (...), c'est la dame des 35 heures. Je ne pense pas qu'à l'heure des problèmes économiques actuels, cette vision du monde, du travail et de l'économie soit très moderne. Ceci dit, ne me demandez pas ce que pense Mme Royal parce qu'en la matière nous avons quand même quelques difficultés à nous retrouver dans les multiples sentiers qu'elle emprunte".

Selon Mme Alliot-Marie, "les responsables du parti socialiste n'envisagent les problèmes que sous l'angle de la lutte sociale, ce qui est terriblement archaïque".

Or "nous sommes confrontés à une crise mondiale, à une mondialisation qui se traduit par une exacerbation de toutes les concurrences, à un besoin de modernisation de nos institutions financières mondiales, de nos institutions européennes pour être capables d'assainir une situation, et face à cela on ne nous parle que de lutte sociale", a-t-elle ajouté.

Le PS, "nous le voyons se diviser au moment même où nous, nous faisons le contraire, nous nous ouvrons", a-t-elle dit.

22/11/2008

MAM sur Europe 1

Michèle ALLIOT-MARIE sera l'invitée de Jean-Pierre ELKABBACH dans l'émission Le Grand Rendez-Vous - Europe 1 - Aujourd'hui en France,
dimanche 23 novembre 2008 de 10h00 à 11h00. 

19/11/2008

Assemblée: MAM présente le "paquet électoral"

La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a présenté mercredi soir aux députés le "paquet électoral" qui permettra aux ministres de retrouver leur siège au parlement s'ils quittent le gouvernement et autorisera le redécoupage des circonscriptions électorales. Les deux projets de loi traduisent plusieurs dispositions de la réforme constitutionnelle du 23 juillet dernier. "Les textes qui vous sont présentés ont pour objectif (...) de fixer des règles claires et transparentes de façon à éviter telle ou telle polémique ou tel ou tel soupçon", a assuré la ministre, qui a invoqué un esprit "d'équité démographique et d'objectivité politique".