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18/03/2009

Sur le thème "L'ELARGISSEMENT DU G8 AU G20 SIGNIFIE-T-IL UN REEQUILIBRAGE ENTRE NORD ET SUD ?"

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Anne LE BIHAN
BIARRITZ

Un sommet mondial aura lieu le mois prochain à Londres, sur fond de crise, ou comment en sortir. La nouvelle donne de l’économie, avec l’apparition des pays émergeants, il était en effet indispensable d’associer ces pays dans la réflexion sur les partenariats et les échanges économiques mondiaux.

Il se trouve que les pays qui vont intégrer pour la première fois le sommet des pays les plus puissants proviennent essentiellement de l’hémisphère sud. Depuis quelques années ces pays connaissent une croissance fulgurante ; alors que dans le même temps nous rencontrons un ralentissement suite à des années de très forte consommation. Les flux mondiaux se sont inversés. Ils ont une démographie croissante et ils doivent à eux seuls, quasiment produire la consommation mondiale.

La crise que nous traversons, nous oblige à constater les limites d’une consommation à outrance, avec une population vieillissante et exigeante en matière sociale. Nous ne produisons plus, nous sommes devenus des consommateurs complètement dépendants de ces pays en pleine révolution économique.

Peut être qu’à l’avenir le rôle des pays « consommateurs » ne serait-il pas d’être un comité des sages afin que tous ces pays « producteurs » ne tombent pas dans les écueils de la sur consommation. Rendons les échanges économiques plus respectueux de l’Homme et de la nature. Faisons en sorte que ces pays ne perdent leurs richesses pour un profit éphémère et destructeur.

Dans ces conditions, il y a urgence à structurer les échanges entre les pays d’autant qu’il demeure un fossé entre nos économies notamment en matière sociale. Il faudrait pouvoir obliger ces pays à respecter les droits de l’Homme et plus particulièrement les droits de l’enfant à savoir leur scolarisation et non l’esclavage moderne. Veillons à ce que ces pays qui détiennent le pouvoir économique deviennent de vraies démocraties. Aidons-les à lutter contre toute forme de totalitarisme (qu’il soit religieux ou politique) voire de terrorisme.

Il faut que le monde se dote d’un genre de conseil de surveillance des échanges économiques internationaux. C’est peut être là, que nous avons, nous pays de l’hémisphère nord, tout notre rôle à jouer, de respect de l’éthique.

 

17/03/2009

Sur le thème "L'ELARGISSEMENT DU G8 AU G20 SIGNIFIE-T-IL UN REEQUILIBRAGE ENTRE NORD ET SUD ?"

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Jean Charles MENDIELA

Comme par hasard, c’est encore un homme de droite, Valérie Giscard d’Estaing, qui est à l’origine de la création du G7 en 1975, suite au choc pétrolier de 1974-75, qui vit les pays de l’OPEP prendre en otage les pays industrialisés, en leur imposant une augmentation du prix du baril de façon unilatérale.

Il avait eu l’idée de départ, réunir les 7 pays qui s’étaient fait la guerre en 1939-45, afin de construire un groupe de travail, détendu et informel, qui ferait en sorte de coordonner ses actions en matière économique et sociale, voire militaire. En 1997, la fin de la guerre froide rapprocha la Russie de ce groupe de travail et le G8 prit naissance.

La mondialisation commençait à naître avec l’arrivée d’internet et les places boursières se servaient déjà de ce système pour les cotations, ce qui poussa le G8 en 1999 à s’élargir au G20 afin de coordonner les politiques économiques, sociales, fiscales des 20 pays les plus puissants de la planète et faire en sorte que les échanges commerciaux et financiers ne soient pas voués à l’anarchie. Ce qui permit aux 20 pays représentant 90 % du Produit mondial brut, de stopper les différentes crises financières et pétrolières de la planète. Mais le but n’était pas seulement économique, mais humanitaire aussi, puisque les pays membres du G 20 initièrent un programme d’aide aux pays sous développés afin de permettre justement un équilibre économique des plus forts vers les plus faibles, afin de faciliter les échanges commerciaux entre ces deux catégories. Le FMI est convié à chaque G20.

Le G20 va se réunir bientôt pour discuter de la crise « financière » que nous vivons et en tirer les conséquences et les leçons. Malgré les différents G20 dont les rôles ont été chaque année, de justement empêcher les crises financières, de favoriser les rééquilibrages du « Nord » et du « Sud » de notre planète, le rééquilibrage des pays « riches » avec les pays « émergents », ont provoqué l’inverse de ce qui était attendu. En effet, la plupart des pays émergents se sont développés sur des systèmes économiques anarchiques, financés en partie par le FMI. Leurs économies se sont développées grâce à plusieurs phénomènes, main d’œuvre sous payée, corruption, trafics de stupéfiants et d’armes, détournements de fonds du FMI, prise du pouvoir par des entités mafieuses etc…

Parallèlement à cela, les paradis fiscaux se sont développés pour devenir les paradis des sociétés écrans de ces pays émergents, dont les trafics en tous genres ont besoin de « blanchir leur argent sale » en toute impunité. Or, les différents G20 n’avaient pas prévus ce scénario, ou avaient fait semblant de ne pas le voir, et ont permis à ces fortunes mafieuses de prospérer et d’entrer sur les différentes places financières mondiales par l’intermédiaire de leurs sociétés écran. Le problème est que ces fortunes mafieuses, sont souvent détenues par des chefs d’état peu scrupuleux ( mafia italienne, sicilienne, russe, chinoise, pakistanaise, afghane etc…) et dont la base est venue des trafics qu’ils ont aidés chez eux et qui les ont enrichis directement. Or, en entrant dans les économies mondiales, ils sont entrain d’essayer de prendre le contrôle d’entreprises connues et honnêtes par le biais de leurs sociétés écrans ( dont les fameux Edge Funds pourris ) dans tous les pays du monde. La crise que nous connaissons aujourd’hui, n’est pas une crise économique, mais financière, car l’argent ne s’est pas envolé, il est dans les mains de ces mafieux qui attendent de voir l’économie s’écouler pour racheter les entreprises stratégiques des pays « riches ». Nous risquons de voir et nous voyons déjà, des entreprises américaines rachetées chez elles par des chinois ou des russes, bientôt ce sera de même dans le monde entier.

Donc le G20 aujourd’hui, a tellement bien joué son rôle, qu’il s’est fait prendre au piège et la prochaine réunion du G20, sera de trouver les moyens de sortir de ce piège sans trop de dégâts, en préservant la paix mondiale sans laquelle l’économie s’écroulerait carrément et surtout en neutralisant ces économies mafieuses réfugiées dans les paradis fiscaux. Preuve que trop de libéralisme tue le libéralisme, et que trop de libéralisme encouragera l’anarchie pour finir par du totalitarisme… Chinois, Russe, Islamiste ou autre …

Donc voilà pourquoi à notre époque, le G8 serait mort s’il n’était pas passé au G20 !!!

15/03/2009

Contribution de Gérard SALABERRY

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Comme nous tous, Gérard SALABERRY, notre ami de

 

St Jean de Luz, est très attaché à Michèle ALLIOT MARIE.

 

Gaulliste de la première heure, engagé auprès de

 

Michèle ALLIOT MARIE depuis plus de 20 ans.

 

Il a conçu ce diaporama que je vous invite à consulter

 

à propos des timbres à l'effigie du Général de Gaulle 

 

Téléchargez le diaporama.pps

 

 

Aupa XANGO !!!

 

18/02/2009

Sur le thème "Comment valoriser la libre initiative et la liberté d'entreprendre en cette période de crise ?"

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Jacques CAPLANNE

Urrugne

L’économie nationale n’appartient pas aux entreprises du CAC 40.

 

 Il existe aussi :

 

 

1 – L’Artisanat : qui représente 33 % des entreprises inscrites à titre principal ou secondaire de l’ensemble des entreprises (Source Ministère de l’économie, des finances, de l’industrie –Editions 2003.). Il représente 14 % de l’emploi intérieur dans les branches de l’industrie, du commerce et des services (Source DGI/INSEE).

 

L’artisanat, moteur de l’économie française, rassemble plus de 3 millions d’actifs en France. Le secteur dépasse aujourd’hui 920 000 entreprises, rassemble 510 activités différentes et est ainsi la première entreprise de France avec 100 000 embauches chaque année et le départ à la retraite de 30000 actifs dans les 20 ans à venir. Donc, c’est un secteur créateur et générateurs d’emplois.

 

Les entreprises artisanales emploient, dans leur majorité, moins de 10 salariés. Qualifiés dans leur métier, les artisans sont les dépositaires de nombreux savoir-faire, ces chefs d’entreprises indépendants assurent seul ou avec leur conjoint la responsabilité de l’entreprise, travaillent dans un esprit d’initiative, de recherche de qualité et de satisfaction du client.

 

Les entreprises artisanales sont un vecteur de l’équilibre des agglomérations, elles dynamisent l’économie du territoire rural, assure un rôle de service de proximité et un lien social reconnu.

 

31 % des entreprises sont implantées en communes rurales

41 % dans des centres urbains de moins de 200 000 habitants

28 % dans des communes de plus de 200 000 habitants.

 

 

2 - Les TPE – PME – PMI : Selon l’étude IBM auprès de 1130 dirigeants, l’entreprise de demain est : avide de changement, innovante et avant-gardiste dans son approche client, révolutionnaire par nature, responsable et authentique. L’année 2008 est une année record pour la création d’entreprises en France, plus de 320 000. D’autre part, 29 % des Français ont envie de créer ou reprendre une entreprise ou se mettre à son compte. 53 % de ces Français désireux de créer ou de reprendre une entreprise estiment que l’image des chefs d’entreprises auprès de l’opinion est bonne car les entrepreneurs permettent de :

 

 - Créer de la richesse pour tous

- Créer des emplois.

 

 

COMMENT VALORISER LA LIBRE INITIATIVE ET LA LIBERTE D’ENTREPRENDRE

 

 

 

Les questions relatives aux locaux artisanaux, PME, PMI,TPE (accès, utilisation, financement, etc.…), ses relations avec les cœurs de ville et les services dus à leur clients sont des éléments importants pour les prises de décision.

 

Il existe déjà en France, un système de logement social dit « H.L.M. » destinés aux classes populaires et aux salariés, et qui reçoit des subventions d’état.

 

Pourquoi ne pas mettre ce système aux services des ARTISANS, PME, PMI, TPE ?

 

1 – LE FINANCEMENT : Géré au niveau départemental ou régional, il doit se faire sur du long terme, et à des taux subventionnés. Le terrain, objet de la construction future, peut faire l’objet d’un bail à construction, et donc, revenir de plein droit à la collectivité publique au terme dudit bail.

 

D’autre part, des subventions pourraient être accordées aux preneurs, soit pour l’investissement outil, soit pour l’investissement recherche. De même, des exonérations fiscales pourraient être envisagées selon le secteur d’activités.

 

E – LA CONSTRUCTION : L’édification de bâtiments modulables selon les activités souhaitées (Regroupement d’artisans, petits commerces de proximité, regroupements d’associations etc. ..), dans un même lieu de plusieurs activités complémentaires favorise le développement d’une offre variée.

 

Réorganiser l’espace permet également de résoudre les problèmes liés aux inconvénients en matière de pollution, de bruit ou d’encombrements dus aux livraisons.

 

3 – L’INSTALLATION : La modularité des  surfaces, étudiées en fonction des besoins du locataire permet d’agrandit l’offre et peut également éviter les contraintes financières  du preneur.

 

Le bail établi classiquement sur les données du bail 3/6/9 du Décret du 30 Septembre 1953 permettra à l’occupant d’avoir la propriété commerciale de son fond de commerce à partir du 24ème mois et lui permettra de se motiver afin de développer son entreprise, contrairement aux « pépinières et/ou incubateurs »

 

Prévu pour favoriser l’installation de jeunes créateurs, ces « pépinières et/ou incubateurs » présentent certaines limites de développement, notamment, la durée d’installation, pas souvent respectée, mais établi sur du court terme, des loyers qui ne permettent pas d’appréhender les coûts réels du marché locatif, des services communs (secrétariat, photocopies etc. )  qui ne sont pas d’une grande confidentialité.

 

Le système de logement social adapté aux  services des ARTISANTS, PME, PMI, TPE, permettent de :

 

- Favoriser l’installation d’entrepreneurs

- Simplifier la vie des entreprises

- Regrouper les activités pour mieux satisfaire les clients

- Investir dans le long terme sans engager de dépenses courantes de soutien.

 

Bien entendu, ce document n’est qu’une ébauche de ce que les pouvoirs publics peuvent mettre à la disposition des ARTISANTS, PME, PMI, TPE, pour valoriser la libre initiative et la liberté d’entreprendre.

16/02/2009

Sur le thème "Comment valoriser la libre initiative et la liberté d'entreprendre en cette période de crise ?"

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Colette CADIEU

Hendaye

Supprimer la T.P. (Taxe Professionnelle) pour les petits entrepreneurs .

 

Cet impôt est injuste, il pèse sur la compétitivité des entreprises. En 1975, au lendemain du premier choc pétrolier, Jacques Chirac l’instaure. François Mitterrand le qualifiera quelques temps plus tard « …d’impôt imbécile… ». En 2004 Jacques Chirac reconnaît  « …qu’il pèse sur l’Industrie et qu’il faut lui substituer un nouveau dispositif… ». Le rapport Fouquet à l’époque montre que depuis les années 1980  « …la taxe professionnelle pèse plus lourdement sur l’ensemble des entreprises dans les périodes où elles connaissent des difficultés conjoncturelles et sont exposées à des risques d’illiquidités et d’insolvabilités… ». Nous y sommes.

 

A une époque de concurrence acharnée et sans merci, dans un monde en crise, il est suicidaire de croire que les petites entreprises, les petits patrons indépendants, commerçants et artisans, peuvent supporter encore plus de charges et d’impôts.  Les leaders syndicaux semblent ne pas vouloir faire le distinguo entre ces petits patrons et les « grands capitaines de vaisseaux » aux bonus vertigineux.

 

10, 12, 14 heures/jour pour un artisan taxi, un artisan chocolatier, un charpentier, un plombier. 20, 30, 48 heures d’amplitude horaire pour une certaine catégorie de transporteur. Avec à peine un jour de repos/sem., dimanche et jours fériés inexistants. En 25 ans d’exercice, à peine un an de vacances. Avec une vie familiale en pointillés, pour ne pas dire entre parenthèses.

 

Vantons les forces vives d’une nation, à condition de ne pas les anéantir et les broyer dans l’ inextricable maquis administratif et infernale machine fiscale.

 

Les élus locaux et les collectivités territoriales s’inquiètent :  il faudra une contrepartie.

 

Nous sommes bien obligés de reconnaître que l’Appareil d’Etat coûte cher. Les gouvernements passent, les institutions perdurent, et leurs exécutants avec. Tout ce qui a fait la richesse de La France durant les « Trente Glorieuses » n’est plus. Nous nous inquiétons  pour notre système de Santé, l’avenir des Caisses de Retraite car le Pays ne génère plus assez de richesses pour en assurer le pérennité.

 

Ajouter à cela les intérêts catégoriels, les corporatismes, nos avantages acquis, nos individualismes, nos exigences, nos prétentions, sommes nous vraiment prêts à réformer et à voir que les injustices sociales ne sont pas toujours du côté des salariés ? Que la même règle ne peut être appliquée aux  petits patrons, comme aux  Multinationales, Holding, Groupes de Grande Distribution et Grandes Entreprises ? Quoique certains de ces géants (ex : industrie automobile) viennent de nous montrer leurs limites dans cette immense bourrasque financière et planétaire.

 

 

 

 

 

 

15/02/2009

Sur le thème "Comment valoriser la libre initiative et la liberté d'entreprendre en cette période de crise ?"

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Anne LE BIHAN

Biarritz

Aujourd’hui nous subissons de plein fouet la limite de la liberté ou plus exactement d’une certaine vision de la liberté, celle du profit, du gain. Nous courrons après le temps, parce que l’on a de cesse de nous dire que le temps c’est de l’argent ; que pour être heureux, il faut avoir une vie accomplie, un foyer, des enfants. Bref pour être heureux, il faut avoir un métier passionnant et qui rapporte suffisamment pour satisfaire le moindre de nos désirs ou devrait-on dire de nos caprices ? Nous sommes restés dans la société de consommation à tout va qui prône l’individualisme voire l’égocentrisme. La notion de famille se réduit au fil des ans à peau de chagrin, maintenant on parle de famille mono parentale. Tel est le constat.

La crise ne serait-elle pas une sonnette d’alarme qui dirait ASSEZ le monde court à la catastrophe. Il faut inventer une autre façon de vivre en société.

Cessons de ne voir que le côté négatif des personnes, des choses, parce que de tout négatif il faut en retirer du positif. Préoccupons-nous de l’autre, de nos enfants, de nos parents, de nos voisins,… Il faut reconsidérer la place de la famille au cœur de la société et inciter les gens au renforcement des liens inter-générationnels, par l’entraide. Redonnons confiance aux gens en leur donnant envie d’aller de l’avant, d’entreprendre, d’innover, ce devrait être un enjeu politique majeur. Arrêtons d’être en attente permanente des autres ou de l’Etat, cessons cet assistanat individuel et encourageons les personnes qui souhaitent créer de l’emploi, innover. Inversons la question : que pouvons-nous faire pour avancer et non pas qu’est-ce que l’Etat peut faire pour nous, prenons nous en charge et devenons adulte. Appliquons ce que nous prônons tous les jours à nos enfants de faire et nous en gagnerons en respect en retour.

Le tissu économique français est constitué de centaines de milliers de Très Petites Entreprises. L’Etat a tendance à se focaliser sur les grandes sociétés alors que pour diverses raisons économiques et écologiques, il faut aujourd’hui faire revivre les petits métiers, l’artisanat, le service de proximité. L’Etat, est là pour donner des pistes, fixer des axes et faciliter la liberté d’entreprendre à toutes les femmes et les hommes de bonne volonté qui croient en leurs projets en allégeant les charges qui pèsent trop fortement sur l’entreprise ; en formant les futurs chefs d’entreprises à la gestion. Revalorisons le métier d’entrepreneur, ce n’est pas parce que quelques uns ont failli, que l’on doit bannir l’ensemble des patrons.

Créons, bâtissons ensemble l’avenir.