15/06/2009
Michèle ALLIOT MARIE était l'invitée de Bernard THOMASSON
Le Ministre de l’intérieur, Michèle Alliot-Marie a annoncé cet après-midi la création de brigades de protection des familles.
Devant 1.500 policiers, gendarmes, et représentants d’associations de victimes, réunis à Paris, Michèle Alliot-Marie a annoncé la création de brigades de police spécialisées dans la lutte contre les violences intrafamiliales.
Ce sont les brigades des mineurs, qui marchent très bien, qui ont servi de base pour la création de ces brigades de protection des familles. Les nouvelles unités seront mises en place dans tous les départements et dans les tout prochains jours à Paris.
La ministre de l’Intérieur est revenue à plusieurs reprises dans son discours sur l’accueil et le droit des victimes. D’après le ministère, 160.000 cas de violences familiales et 193 morts ont été recensés en 2008.
20:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/06/2009
Michèle Alliot-Marie - Colloque sur la sécurité
Michèle Alliot, Ministre de l'Intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales, s'exprime lors du colloque "Sécurité : nouveaux enjeux" pour plancher sur l'évolution de la délinquance et de la criminalité (10 juin 2009).
10:25 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (0)
05/06/2009
A propos de la LGV
Réaction du Docteur Raymond Viale
Merci pour votre défense opiniâtre, quoi qu'il en coûte, des idées structurantes du Gaullisme, et félicitations pour votre prise de parole claire au sujet de la LGV en aquitaine.
Il faut stopper les coûteuses et intarissables études chères à nos collègues socialistes, arrêter les choix politiciens de tracés.
Notre retard en matière de communication est gravissime. Dans les Landes il est clairement dû aux choix de la majorité départementale.
L'urgence, comme les chiffres, demande l'aménagement de la voie actuelle Bordeaux-Dax-Bayonne, concomitamment à la ligne nouvelle Tours-Bordeaux.
La ligne Paris-Toulouse n'est pas notre affaire, qui serait bien plus génératrice de progrès à travers le massif central.
Pour les Landes, je ne comprend pas l'argumentaire pour une voie nouvelle à l'est pour dans 20 ans, avec l'utopie d'Emmanuelli et de la CCI d'une gare TGV tous les 50 Kms: Bordeaux, Captieux, Mont de Marsan, dax, Bayonne. Ce n'est certainement pas de l'utopie...
Pour les voyageurs, on dit vouloir rapprocher de Paris les hommes d'affaires Palois. Dans 20 ans les hommes d'affaires se déplaceront beaucoup moins et le très modeste gain de temps sera dérisoire pour de reres réunions, nul pour du tourisme.
Pour nos curistes, ils auront toujours des rhumatismes et des troubles veineux. Vivants plus vieux, soumis aux conditions de travail, ils en ont de plus en plus. La sécurité sociale vient de le comprendre. Elle a mis fin le 6 juin 2007 aux attaques du plan Johannet. Elle relance le thermalisme social. Elle demande aussi de mettre au point des prises en charge sans les domaines nouveaux, de la prévention, de l'éducation à la santé, des suites de cancers, de la créno-réadaptation venant décongestionner les centres de rééducation fonctionnelle. C'est concrétisé par l'arrêté du 1er août 2007, par la nouvelle convention de 2008, et parce qu'elle y met de l'argent, à un moment où il est rare et où les choix doivent être guidés par une certitude raisonnable d'amélioration de la santé de la population.
La station qui va se développer est Dax, pour son savoir faire, la qualité de ses actifs thermaux, sa recherche adaptée aux pathologies de notre époque. Mais cette activité est fragile. Avec des bâtons dans les roues, comme la tergiversation sur la LGV, ce sera la fin de cette économie (12 % de l'emploi des Landes). Le thermalisme français sera mal s'il perd ou voit péricliter son leader. Nous sortons des lubies de pouvoir d'un directeur de la CNAMTS, il ne faut pas en rajouter.
Les autres réalités socio économiques sont convergentes.
Les touristes iront toujours sur la cote d'Argent et la cote basque. On voit le besoin de relancer un tourisme social, qui peut se déplacer en train. Gagner 4 minutes, ou 12 comme le dit Jean Louis Carrére est sans importance.
Quand aux habitants des Landes, le rapport de la DATAR de septembre 2004 dit que, dans 20 ans, 30 % de la population française vivra dans la bande littorale. Il recoupe celui de l'INSEE-IGN de 2000 qui constae déjà 63 % de la population urbanisée d'Aquitaine à l'ouest de la ligne Libourne, Dax, Saint Jean Pied de Port.
De plus les documents RFF montrent que les LGV développent les poles economiques existants et déjà performants, et n'en créent pas par leur passage.
Tout plaide pour l'aménagement rapide de la ligne actuelle, qui ne défigurera ni le Parc National, ni le littoral Basque.
Le problème du frêt est un leurre. Il serait heureux de se décider aussi, dans le même temps, sur l'autoroute Trans navarraise qui déviera le trafic Tudéla-Pampelune jusqu'à la plateforme multi modale de Castet. Elle désenclavera et développera l'activite de Dax et du Pays basque intérieur.
Encore merci pour vos déclarations de bon sens qui ferront avancer les choses si quelques uns de nos amis s'intérrogent sur le raisonnable et l'intérêt des gens.
Docteur Raymond Viale
ancien maire adjoint de Dax
vice président de la fédération 40 du Parti Radical
secrétaire général de la Fédération thermale et climatique Française
09:24 | Lien permanent | Commentaires (2)
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
En réponse aux propos de Monsieur Alain ROUSSET, président du Conseil Régional d'Aquitaine et de Monsieur Alain JUPPE, Maire de Bordeaux, Michèle ALLIOT-MARIE, Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités Territoriales tient à apporter les précisions suivantes :
" Il est totalement erroné de prétendre que l'accord trouvé sur le passage de la LGV en Côte Basque mettrait en quoi que ce soit en péril la réalisation ou le calendrier de la liaison à grande vitesse Paris-Bordeaux-Madrid.
Le relevé de décision commun au secrétariat d'Etat aux Transports, à Réseau Ferré de France et au ministère de l'Intérieur, en affirme au contraire la nécessité et la poursuite.
Dans ce cadre, RFF reconnait que sur la Côte Basque la liaison grande vitesse n'exige pas la réalisation d'une nouvelle voie avant saturation éventuelle de la voie actuelle, d'ici 15 à 20 ans minimum.
RFF et le Secrétariat d'Etat aux Transports admettent que s'il y avait un jour saturation et qu'une nouvelle voie devait être réalisée, celle-ci devrait être enterrée afin de préserver le patrimoine naturel et architectural.
En quoi, dans ces conditions, la décision de renoncer à des études reconnues prématurées sur le tronçon Bayonne-Hendaye peut-elle gêner la réalisation de Tours-Bordeaux prévue en 2016, ou de Bordeaux-Dax-Bayonne d'ici 2020 ?
J'ai souvent eu la désagréable impression qu'à Bordeaux, on refusait d'écouter les élus et les citoyens de la Côte Basque qui soutenaient la LGV, mais demandaient des solutions raisonnables. Je me réjouis d'avoir pu relayer auprès du Secrétaire d'Etat aux Transports et de la direction de RFF leurs positions, que je partage publiquement depuis 15 ans.
Si certains, qui n'ont pas voulu manifester d'intérêt pour ces propositions dans les années passées, sont vexés de n'avoir pas été à la table lorsqu'un accord raisonnable a été trouvé, j'en suis navrée pour eux.
Ce qui compte c'est une solution qui ménage l'intérêt économique de la LGV et la préservation de l'environnement. C'est le cas. "
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04/06/2009
Michèle Alliot-Marie répond à Daniel Mach
Michèle Alliot-Marie, Ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales, répond à Daniel Mach, Député des Pyrénées-Orientales, au sujet de la lutte contre l'insécurité (2 juin 2009).
11:25 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (0)
30/05/2009
Diner rencontre de la branche des Pyrénées Atlantiques
Les adhérents et sympathisants du Chêne ont planché en Mai sur le Thème :
"La construction européenne : quelle union pour demain ?"
Toutes les contributions émises par les adhérents et sympathisants sont remontées au Centre National ainsi qu’au Comité exécutif du mouvement Présidé par Michèle ALLIOT MARIE.
A l'approche des élections européennes du 7 juin prochain, les adhérents et sympathisants du Chêne des Pyrénées Atlantiques ont pu s’exprimer , sans langue de bois, sur la construction européenne.
De nombreuses contributions ont été écrites sur le fonctionnement institutionnel de l'Union Européenne, qui dans l'état actuel des choses ne semble parfaitement convenir ni aux européens ni à leurs représentants.
L'europe ce n'est pas seulement un Hymne, l'euro, un drapeau ; c'est aussi, et peut être avant tout, une puissance économique et diplomatique de premier plan. Ce sont des peuples aux cultures différentes mais qui s'inscrivent dans une histoire commune, et qui ont choisi de prospérer ensemble, malgré des besoins et des points de vue parfois divergents.
D’autres contributions demandent de rendre le fonctionnement de l’Europe plus efficace, plus transparent, plus démocratique aussi, et que le travail des députés européens soit davantage mis en avant, de sorte que les électeurs se sentent liés, intéressés au Destin de l'Europe, qui ne se joue pas seulement à Bruxelles, mais aussi en France.
Un certain nombre de regrets se sont faits sentir concernant l'Europe unie que nous voudrions tous et qui est remise en cause.
Par les enjeux nationaux qui se substituent aux enjeux européens lors des élections, par le jeu dangereux d'un certain nombre de mouvements aux discours démagogiques en Europe, mais aussi en France, et qui ne font que déstabiliser un équilibre déjà précaire depuis les "non" au Traité sur la Constitution européenne, et au Traité de Lisbonne.
Du point de vue de la Défense européenne, et dans la ligne de ce que Michèle Alliot-Marie avait commencé à mettre en oeuvre lorsqu'elle était Ministre de la Défense, l'Europe doit se doter d'une armée capable de relever les défis d'aujourd'hui, que ce soit dans la guerre contre le terrorisme, ou dans des conflits locaux comme au Liban ou au Darfour.
L'Europe doit pourvoir AGIR sur tous les fronts !
Comme le veut notre tradition un diner mensuel de compagnonnage, organisé à BIRIATOU a donné l’occasion aux 50 militants présents, réunis autour d’Henri Levréro chargé de mission départemental et de toute son équipe (anne le bihan, michel hiriart, patricia gloaguen,didier irastorza,thomas balleyguier,thomas lambert, stéphane alvarez et jean michel barate), d’échanger également sur des thèmes d’actualités locales et nationales.
02:42 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (0)