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02/06/2010

Le Chêne dans Profession Politique

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Majorité

Le Chêne attend Villepin

L’ancien Premier ministre lancera son parti le 19 juin, mais Le Chêne, club de Michèle Alliot-Marie, entend rester l’héritier "officiel" de la pensée gaulliste.

Du côté du Chêne, on est unanime. Le lancement du parti de Dominique de Villepin, le 19 juin prochain, n’a aucun lien avec l’effort entrepris par Michèle Alliot-Marie pour amplifier l’action de son mouvement créé en 2006. "Nous étions là bien avant que Dominique de Villepin ne décide de la création de son parti. Il n’y a aucune stratégie de notre part, si ce n’est de faire émerger les idées gaullistes dans l’action du gouvernement", assure Isabelle Debré, porte-parole du Chêne. Toute cette effervescence ne serait que pure coïncidence. Aucun rapport donc avec les ambitions de Dominique de Villepin, qui ne cesse de revendiquer l’héritage gaulliste. "Notre organisation ne fonctionne pas en rapport avec d’autres", affirme le secrétaire général du Chêne, Michaël Bullara. Il s’agirait d’un mouvement d’accélération du réseau commencé à la rentrée 2009. Des chargés de mission au niveau départemental ont été nommés pour animer des débats et des rencontres au Sénat et à l’Assemblée sont organisées depuis peu avec des personnalités politiques et avec les parlementaires du Chêne. Environ 6 ou 7 branches départementales seraient mises en place chaque mois.

Une démarche constructive

Le club de la garde des Sceaux veut faire entendre sa voix, comme il l’a fait au moment du débat sur l’identité nationale, lorsque ses membres avaient lancé un "grand atelier sur l’unité nationale". Un terme qu’ils avaient préféré à celui d’"identité", jugé plus restrictif. Pour autant, le Chêne s’interdit d’être dans la critique vis-à-vis du gouvernement. Le mouvement, qui compte plus de 110 parlementaires, vante sa "démarche constructive". Une posture qui ne devrait pas desservir Michèle Alliot-Marie, évoquée comme possible successeur de François Fillon à Matignon. "Elle est sur les rangs", confie un proche. En attendant, le Chêne entend continuer à cultiver ses racines gaullistes. Pour le 70e anniversaire de l’appel du général de Gaulle, le mouvement lancera une opération entre le 12 et le 20 juin sur tout le territoire, en organisant des réunions portant sur les atouts de la France et les piliers du gaullisme.

29/05/2010

Diner rencontre de la branche des Pyrénées Atlantiques

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90 convives se sont retrouvé à la Pinta à Hendaye,pour échanger sur le thème de l’aménagement du territoire. De nombreux élus étaient présents, Peyuco DUHART, maire de Saint Jean de Luz, Roger GAMOY, maire d’Itxassou, Guy POULOU, maire de Ciboure. Paul BAUDRY, Maire de Bassussarry, et Président de la communauté de commune d’Errobi, a présenté sa vision du développement des communes. Il a notamment insisté sur la nécessité de densifier et de recentrer l’habitat sur le bourg des communes afin d’y recréer un centre de vie. L’avenir sera donc à l’économie des terres, et au développement de petites unités foncières, pour une meilleure convivialité dans le but du mieux vivre ensemble.

Retrouvez les photos :

http://picasaweb.google.fr/Henri.Levrero/CheneMai10

19/05/2010

Interdiction du voile intégral : interview de Michèle Alliot-Marie

Interview de Michèle Alliot-Marie, Garde des Sceaux sur le projet de loi visant à interdire le port du voile intégral dans l'espace public

05/05/2010

Réunion des jeunes du CHÊNE

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Une trentaine de jeunes membres du CHENE et sympathisants ont répondu à l’invitation de Thomas LAMBERT ce soir à la TASCA, mais également des élus biarrots lui ont fait l’honneur de leur présence, Monsieur Jean Benoît SAINT CRICQ ainsi que Monsieur Patrick DESTIZON, ainsi que Camille DARASSE, responsable départementale des jeunes du NOUVEAU CENTRE. Après un bref constat du désintérêt des jeunes pour la politique que Thomas LAMBERT ne conçoit pas comme une fatalité. Il a présenté Eric LEROY, patron de la boîte de nuit du PLAY BOY à Biarritz depuis 20 ans.

 En effet Eric LEROY devient référent au sein du CHENE au niveau départemental, des métiers du bar, de la restauration et de la nuit afin d’établir une plus grande concertation entre les acteurs de l’animation touristique que sont les municipalités, les forces de l’ordre et les professionnels. Il s’inscrit dans une « démarche positive et constructive, sans prétention mais avec un seul souci d’efficacité et toujours dans un cadre amical. C’est d’ailleurs ainsi qu’il définit LE CHENE « un espace de partage, de réflexion et de travail mais aussi de convivialité et d’écoute ».

Monsieur Le Maire de Saint Jean de Luz qui nous a fait l’amitié de se joindre a nous a conclu sur l’intérêt de cette concertation compte tenu des difficultés dans une ville de concilier avec les diverses générations afin de pouvoir animer une station balnéaire.

01/05/2010

Lancement du CHENE en Béarn

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Le mouvement associé à l’UMP le CHENE de Michèle ALLIOT MARIE a pris racine hier en Béarn, à Sevignacq Mayracq dans le fief du sénateur UMP et membre du CHENE Auguste CAZALET.

70 personnes étaient réunies autour du sénateur, du conseiller général et président de l’intercommunalité, Francis COUROUAU. 35 courageux de la Côte Basque avaient fait le déplacement en bus pour l’occasion. Auguste CAZALET nous a présenté le mouvement en nous rappelant la vocation du mouvement créé en 2006 par Michèle ALLIOT MARIE qui est de rassembler les idées du gaullisme, et de travailler au service des hommes et des femmes et de la France. La grandeur est dans l’action. La France est comme un grand vieux chêne, avec une sève dense, composée d’une population diverse mais homogène où l’enjeu est de maîtriser le développement de ses branches de façon harmonieuses, sans s’éloigner de la souche originel.

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C’est après avoir partagé, ce moment de convivialité, autour d’une coupe de champagne, généreusement offerte par le sénateur que le chargé de mission départemental du CHENE, Henri LEVRERO a pris la parole pour présenter une partie de l’équipe départementale présente à ce rendez-vous important : Patricia GLOAGUEN, Anne Le Bihan, Michel BERNET, Thomas BALLEYGUIER, Thomas LAMBERT et Michel HIRIART. Sous son impulsion la salle a fait une standing ovation, à Peyuco DUHART, candidat méritant mais malheureux des élections régionales, qui était soutenu par LE CHENE. Le maire de Saint Jean de Luz, qui par fidélité au CHENE et par amitié pour Auguste CAZALET n’a pas hésité à faire le déplacement, a chaleureusement remercié les militants pour leur implication dans la campagne. La soirée a été conclue par l’intervention du secrétaire départemental adjoint de l’UMP, Bernard LAYRE, qui en a profité pour rappeler l’importance et l’enjeu des réformes à venir et il a plus particulièrement insisté sur la réforme de l’interdiction du port du voile, comme portant atteinte à la dignité de la femme mais au-delà à la sécurité publique, réforme qui sera défendue au mois de juillet par Madame le garde des sceaux Michèle ALLIOT MARIE.

Retrouvez l'ensemble des photos de la soirée en cliquant sur le lien ci-dessous

http://picasaweb.google.fr/Henri.Levrero/CHENEAVRIL2010

30/04/2010

Paru dans Match, MAM sur la route de Matignon ?

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Aux prises avec l’épineuse réforme de la procédure pénale, elle hérite aujourd’hui du projet de loi sur la burqa. Michèle Alliot-Marie devient incontournable.

Virginie Le Guay - Paris Match

« Je n’avais rien demandé. » Revenue, tard la veille, d’un voyage éclair au Liban et en Jordanie, MAM fait mine de découvrir les unes des quotidiens. « Burqa, la droite attaque », « Le gouvernement pris dans la spirale de sa campagne antiburqa »... Chargée par Nicolas Sarkozy de « porter » le projet de loi sur l’interdiction du port du voile intégral, Michèle Alliot-Marie se retrouve, depuis l’épisode Hebbadj, en pleine polémique.

Une horreur pour cette juriste aguerrie qui n’aime rien tant que travailler au calme dans son vaste bureau de la place Vendôme. Alors qu’elle prépare depuis des mois, et non sans mal, une importante réforme de la procédure pénale, la voici maintenant en charge du projet de loi ultra « touchy » et, qui plus est, urgentissime, sur la burqa. « Tout doit être bouclé avant l’été », lui a ordonné Nicolas Sarkozy avec lequel elle s’est entretenue « récemment et à plusieurs reprises ». Preuve, au passage, que les liens ne sont pas distendus entre le président et cette chiraquienne old school, aux manières contraintes, qui ne s’autorise jamais la moindre « petite phrase ». « Je ne lui connais aucun dérapage. Chapeau ! », reconnaît Brice Hortefeux, pourtant pas de ses intimes.

« Par sa résistance, elle a forcé le respect de Sarko »

« Avant l’été », c’est-à-dire avant la fin de la session extraordinaire de juillet au Parlement. Le calendrier est arrêté : le texte sera présenté devant le Conseil des ministres le 12 mai. Six semaines plus tard – le délai est incompressible –, discussion et vote en première lecture à l’Assemblée. Dernière étape après le 14 juillet, avec la discussion et le vote au Sénat.

La procédure d’urgence, un temps envisagée, s’est heurtée à l’opposition des deux présidents des Assemblées Bernard Accoyer et Gérard Larcher. Au grand soulagement de la garde des Sceaux, peu désireuse de « dramatiser » inutilement l’affaire. « L’idéal serait un vote conforme des deux chambres », espère-t-on à la Chancellerie. Soucieuse d’éviter toute dérive, Michèle Alliot-Marie a bordé son argumentaire : « Ce qui est en jeu, c’est la dignité de la femme, l’égalité de chacun devant la loi. Rien d’autre. » Gare à ceux qui voudraient l’entraîner sur des terrains plus... glissants. « La force de la France, c’est notre vivre ensemble. » Une formule qu’elle a invariablement opposée aux représentants des autorités religieuses qu’elle reçoit depuis le début de la semaine.

Le cas Liès Hebbadj ? « Je ne veux pas m’en mêler », tranche la ministre de la Justice, plus accrochée que jamais à sa feuille de route. Et notamment à la réforme de la procédure pénale qu’elle entend conduire « jusqu’à son terme, quoi qu’on dise ». Actuellement soumis à consultation, le texte (700 articles) sera envoyé sous forme de deux projets de loi, fin mai, au Conseil d’Etat avant d’être présenté devant le Conseil des ministres au plus tard début juillet. La discussion parlementaire croisée (chaque Chambre se saisissant d’un texte en même temps) pourrait, ensuite, s’ouvrir à l’automne 2010 et se terminer « au mieux » au printemps 2011.

« Réformer la justice est un de nos engagements de campagne. Les Français ne comprendraient pas que l’on renonce. » Insensible aux critiques, l’œil déjà rivé sur la suite (elle n’oublie jamais de rappeler « qu’en 2005 déjà », Jacques Chirac pensait à elle pour Matignon), MAM suit son chemin et attend son heure. Sûre de sa loyauté, de sa popularité, de sa... longévité. « Avec elle, les chiens aboient, la caravane passe. Par sa résistance, elle a forcé le respect de Sarko », croit savoir ce proche qui voit « très bien » cette fille d’arbitre international de rugby à la place de... François Fillon. « Elle a la trempe qu’il faut pour ça. »