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29/11/2010

Michèle ALLIOT-MARIE élue à l'unanimité Présidente Départementale de la Fédération Départementale de l'UMP

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27/11/2010

Diner Débat de la branche des Pyrénées Atlantiques

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La soixantaine de membres et sympathisants du CHENE, présents au restaurant LE PONTON à Biarritz ce soir a planché sur : comment renouer le dialogue social… au delà des mots, comment peut-on réussir le « Vivre Ensemble » ? C’est Marc VIEIRA, directeur du centre social DENENZAT à Hendaye qui nous a fait partager le travail qu’il a mis en place avec son équipe de bénévoles en s’appuyant sur le savoir des uns pour le besoin des autres afin de garantir le lien social. Le rétablissement du lien intergénérationnel est indispensable, il permet de renouer le dialogue entre les générations, d’établir des rapports plus respectueux et tolérants ou chacune et chacun a sa place, son rôle à tenir qui permet de maintenir cette cohésion. Tout ceci se fait bien entendu en relation étroite avec les établissements scolaires et les organismes sociaux. Le rassemblement est possible, c’est une question de volonté de vouloir aller de l’avant.

Un grand merci à Paul BAUDRY, Maire de BASSUSSARRY et à François CÉSAT, Maire honoraire de LOUHOSSOA, de nous avoir fait l'amitié de se joindre à nous

Retrouvez les photos

http://picasaweb.google.com/Henri.Levrero/CHENENOVEMBRE2010

07/11/2010

40ème anniversaire de la mort du Général De Gaulle

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Jean Pierre DAVRIL

Notre ami Jean Pierre vous invite à participer  à une messe célébrée à la mémoire du Général de Gaulle pour le 40e anniversaire de sa mort.

Mardi 9 Novembre 18 H 30 à la Cathédrale de BAYONNE


         Cette commémoration est organisée par les anciens de

"l'Action du Gaullisme"

Ce mouvement avait été créé en 1970 par Pierre Mesmer.
                  Pierre Mesmer avait demandé qu'à son décès cette association soit dissoute ce qui fut respecté.
         Néanmoins localement les anciens de ce mouvement marquent tous les ans:

le décés du Général et l'Appel du 18 Juin.

27/10/2010

Michèle Alliot-Marie, etait l'invitée de Patrick Cohen dans le 7/9 de France Inter

10/10/2010

Michèle Alliot-Marie : «C'est un devoir d'être prête, si…»

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Michèle Alliot-Marie, vendredi dernier, dans son bureau au ministère, à Paris.

INTERVIEW paru ce soir dans le FIGARO - La garde des Sceaux manifeste son intérêt pour le poste de premier ministre. 

LE FIGARO. - À dix-huit mois de la présidentielle, faut-il un second souffle pour la fin du quinquennat?

Michèle ALLIOT-MARIE. - Il y a toujours le temps des premières réformes: les plus structurelles, les plus difficiles. Puis celui de la mise en perspective de l'acquis, et d'un nouvel élan. Depuis trois ans, le président de la République a voulu armer notre pays face aux défis de la modernité. Cela a nécessité des réformes nombreuses et lourdes, même si le calendrier parlementaire fait que la cohérence d'ensemble n'est pas encore totalement perceptible. Nous devons continuer pour adapter notre pays aux mutations mondiales, tout en montrant les enjeux aux Français. Enjeu de la concurrence économique mondiale avec l'impulsion à la recherche et à l'université, enjeu de l'allongement de la durée de la vie avec le dossier de la dépendance, enjeu de la cohésion nationale.

En manifestant contre la réforme des retraites, les Français donnent l'impression d'être allergiques au changement. Comment faire?

Les Français ont conscience d'être, sur beaucoup d'aspects, privilégiés par rapport à d'autres pays. Ils craignent que ce ne soit plus le cas demain. Il faut lutter contre ce pessimisme ambiant. Pour redonner foi en l'avenir, il faut valoriser nos atouts et faire redémarrer l'ascenseur social, notamment en relançant la promotion professionnelle dans la fonction publique comme dans le secteur privé.

Pensez-vous, comme Jean-François Copé et Alain Juppé, qu'un changement de gouvernance est nécessaire?

Tout dépend de ce que l'on entend par là. La gouvernance n'est, par nature, pas la même au moment où on a besoin d'impulser un fort élan de réformes que quand vient le temps de les conforter.

Jean-François Copé vise le secrétariat général de l'UMP. Un changement est-il souhaitable à la tête du parti?

Le groupe UMP de l'Assemblée travaille bien et a un bon président actif et créatif. Un parti majoritaire doit, par nature, être en phase avec l'action gouvernementale. Ce qui nuit à sa visibilité médiatique. Pour autant, Xavier Bertrand fait du bon travail notamment sur le terrain, et l'UMP fourmille d'idées, à ne pas confondre avec les ego. Chacun peut s'y exprimer et soutenir ses idées. À l'inverse, le PS est totalement en panne de proposition parce que son unité n'est que de façade. Elle ne tient que sur la photo.

Cet été, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et Gérard Larcher ont pourtant émis des doutes sur le virage sécuritaire. La majorité est-elle aussi unie que vous le dites?

Le discours de Grenoble a fait l'objet d'interprétations partielles et partiales, qui ont créé des malentendus. Une politique de sécurité c'est, comme l'a dit Nicolas Sarkozy, faire appliquer les mêmes lois à tous et par tous. Nous avons besoin d'une telle politique. Il faut tout mettre en œuvre pour assurer la sécurité de chacun de nos concitoyens. Évidemment, nous sommes, je l'espère, tous d'accord sur ce point.

Pensez-vous, comme Jean-François Copé, qu'il y a trop de ministres dans les instances dirigeantes de l'UMP?

Pas forcément. Cela assure une cohérence de l'action et une écoute par les ministres de la base. Le critère, c'est la disponibilité, le temps laissé par certaines responsabilités ministérielles.

Croyez-vous que le remaniement signe la fin de l'ouverture?

Le président de la République a voulu l'ouverture parce qu'il estime notre société menacée par un risque d'opposition frontale qui peut nuire à l'unité nationale et conduire à la violence. Aussi, il n'a pas pratiqué l'ouverture seulement au sein du gouvernement, mais au Parlement, à la Cour de comptes. Une personnalité qui a des compétences ne doit pas être écartée au motif qu'elle n'aurait pas une sensibilité de droite. A contrario, faire venir des gens de gauche, simplement parce qu'ils sont de gauche, n'aurait pas de sens.

Martin Hirsch et son livre sur les conflits d'intérêt ne sont-ils pas l'illustration des limites de l'ouverture?

À l'époque où je l'ai connu au gouvernement, je ne le voyais pas comme un homme à régler ainsi ses comptes avec tel ou tel. J'ai du mal à comprendre. Ce n'est pas ma façon de faire. Je règle mes comptes en direct, pas sur la place publique ni par-derrière à coup d'insinuations fielleuses. Cela fait peut-être partie du caractère un peu rugueux de la culture rugbystique qui est la mienne.

Sous la Ve République, une seule femme, Édith Cresson, a été premier ministre. Trouvez-vous cela normal?

Pour la première fois, une femme va être présidente du Brésil. Déjà au Chili, mon ex-collègue et amie, Michelle Bachelet, l'a été. Les évolutions sont peut-être plus rapides sur d'autres continents…

Si le président vous proposait le poste de premier ministre, seriez-vous prête à relever le défi?

Quand on arrive à un certain niveau de responsabilité politique, il faut se tenir informé de tous les grands dossiers et être prêt à répondre à toute demande. Depuis ma présidence du RPR, je me suis intéressée à tous les sujets, j'ai pris l'habitude de rencontrer des économistes, des chefs d'entreprise, des universitaires, les leaders syndicaux… Et je n'ai jamais cessé depuis, que ce soit à la Défense, à l'Intérieur ou aujourd'hui à la Chancellerie.

Vous vous sentez donc prête pour Matignon?

C'est un devoir d'être prête, si c'était la décision du président.

 

 

25/09/2010

Diner Débat de la branche des Pyrénées Atlantiques

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Ce soir nous étions une quarantaine de militants et de sympathisants du CHENE, mouvement associé à l’UMP, venus de tout le département à Orthez au restaurant des Jacobins, nous retrouvez dans un esprit d’ouverture autour du thème « le bénévolat, ciment de notre société ».

Line PIERNE, présidente départementale de la Fondation du Bénévolat, nous a présenté cette association créée en 1994 à l’initiative de La Ministre de la Jeunesse et des Sports, Michèle ALLIOT-MARIE dont le but est d’œuvrer pour la reconnaissance et la protections des bénévoles, dont le rôle irremplaçable, dans la création et le développement des liens sociaux. La Fondation par le biais de ses partenaires propose aux associations une assurance gratuite des bénévoles moyennant une cotisation.

Etienne BAILLET, président départemental de la fédération française des médaillés de la Jeunesse et des Sports a rappelé les objectifs de la fédération la promotion du sport et du bénévolat ; l’accompagnement des sportifs dans leur reconversion ; faire pratiquer le sport au plus grand nombre, susciter un bénévolat au service des sports dans l’esprit le plus large et le plus ouvert ; participer à la promotion des qualités physiques et morales constituant le fondement des activités sportives. Etienne BAILLET a tenu à remercier tout particulièrement les députés Jean GRENET et Daniel POULOU pour le soutien qu’ils apportent à la fédération.

Un débat riche s’est installé à l’issue des exposés dans la pure tradition gaulliste

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http://picasaweb.google.fr/Henri.Levrero/CheneSeptembre10