10/06/2016
La Marquise de vérité
Ma Toute Douce,
J'ai trouvé, en rentrant de promenade, votre lettre où vous m'annonciez avec une émotion non contenue que notre Max-la-Chips renouait enfin avec le succès. Une missive dans laquelle vous disiez votre bonheur ! Mais hélas, la vieille dame que vous êtes, s'est trompée lourdement... Ce n'est pas notre Chips, notre Max Vico à nous, qui vient de remporter à Montreuil le 100 mètres, mais le jeune et sémillant Jimmy Vicaut... Il ne faut pas confondre les catégories ni les pochettes de chips !
Pourtant notre Chipstarrak a toujours des ambitions bien ancrées et ne recule devant rien ! C'est même à cela qu'on le reconnait... Au point que ces jours derniers, il s'en est allé à Paris, voir Sarkozy qui l'a reçu aimablement, comme l'on reçoit toujours les victimes d'attentat MAMiste.
Et savez-vous ce que notre ami a demandé au petit teigneux ? Vous ne devinez-pas ?
Eh bien, tout simplement, d'avoir l'investiture pour les législatives dans la sixième circonscription des Pyrénées-Atlantiques... Je ne plaisante pas, Chère Thérèse-Marie !
De retour en terres basques, la Chips n'a pu s'empêcher de confier à Nalpas-plat, tout joyeux : "C'est fait ! Sarko est d'accord ! Ce sera MOI, MOI, MOI !"
Nalpas en a mouillé tout son kleenex, expliquant à ses amis : "Brisson c'est comme Eurotunnel. Quand l'action ne vaut plus rien, eh bien il faut mieux les garder en portefeuille que de la refiler. Et moi des actions Brisson j'en ai des milliers ! Qui sait, je vais pouvoir peut-être me refaire !"
Tout cela devient pathétique, Ma Chère, car moi qui ai quelques amitiés en haut lieu chez les Républicains, j'ai, par souci du devoir, vérifié méticuleusement l'information, vous le pensez bien... Et un haut dirigeant de la bande à Sarko m'a bien gentiment expliqué ainsi les choses : "Eh oui, Sarko a vu le gros ! Et Sarko se marrait encore le lendemain en disant : ‘Je n'ai pas pu dire un NON ferme au pauvre Brisson, tu comprends. On se doit de respecter un grand blessé à l'agonie. Mais franchement, comment peut-il y croire qu'on lui donnera finalement l'investiture, lui qui a tout merdé dans sa ville et son département ? Lui le valet de ferme de Bayrou et Lasserre ! De toute façon, la sixième c'est à la vieille, et c'est elle qui décidera. Et si elle n'y va pas, elle y mettra n'importe qui sauf lui ! Enfin, par humanité, il fallait laisser entendre au pauvre Brisson ce qu'il voulait entendre et s'il m'avait demandé s'il serait le prochain président des Etats-Unis ou même la future reine d'Angleterre, je lui aurais dit oui !’ "
Mais il est vrai que la sixième attire bien des convoitises et que certains qui, eux, auraient des chances de se faire investir ou élire, sont toujours en grande réflexion... C'est le cas de Paul Baudry, le dynamique maire de Bassussarry, élu pour la première fois en 1995, et réélu avec 75% des voix en 2014, ce qui doit laisser bien rêveur notre Chips... L'ami Paul, qui est l’un des artisans, aux côtés de ce corsaire de Peyuco, de l'apaisement autour de la future EPCI entre OUI-istes et NON-istes, et grand partisan du futur Lehendakari Etchegaray qu'il juge "le plus légitime parmi les légitimes", était effectivement annoncé comme l'un de ceux qui pourraient surprendre dans cette élection législative. Seulement le Paul, Ma Douce, est un sentimental, attaché à son village comme le Basque obligé de partir aux Amériques, l'était autrefois. Et s'il est flatté de trouver beaucoup de partisans à sa candidature, lui le Gaulliste séguiniste, viré de l'UMP par la Chips pour avoir soutenu la candidature de la petite Candy Darrigade l'année passée aux départementales (la sanction frappant Baudry ayant d'ailleurs été immédiatement annulée par les instances nationales dès que Max-la-Mélasse a été foutu à la porte du secrétariat départemental), confiait l'autre dimanche à quelques proches : "Avec cette histoire du non-cumul, il faudrait que je lâche Bassu. C'est ça qui me fait vraiment hésiter. Ce serait le crève-cœur absolu. Etre député c'est bien, oui évidemment, mais ne pas pouvoir rester un petit maire, chaque jour les mains dans le cambouis, cela me parait absurde ! Pour moi être député, c'est justement être un élu de base et du quotidien qui fait comprendre à Paris la difficulté de notre job de maire !" Il faut dire que le Paul sera, de plus, l'un des vice-présidents de l'EPCI et qu'il compte bien s'y donner à fond. J'en suis fort marri, mais je pense qu'il faudra compter sans lui cette fois.
Heureusement que pour nous distraire, il nous reste notre petit Un-Bru-de-sa-personne, le maire de Cambo. L'impayable petit LU, qui rêvait d'être sénateur et qui n'est que sécateur d'Arnaga, veut toujours croire à ses chances !
Et je me suis laissé dire que le paon de Chanteclerc faisait des pieds et des mains pour être reçu par François Bayrou, histoire de le convaincre de lui attribuer une investiture pour ces législatives. Ce qui explique qu'il fait, jour et nuit, la roue devant Ostia qui lui aurait promis de lui filer un coup de main pour ce faire. Et sans rire, on imagine tout à fait les chances du petit Lu d'être élu député en terres basques en se recommandant d'Ostia ! Je crains bien que le rêve insensé du Vincent de devenir parlementaire ne se réalise jamais, lui qui voudrait pourtant quitter la mairie en 2020 après un long règne qui semble avoir trouvé ses limites.
Au point d'ailleurs que le Pascal Sevran des mamies de Cambo commence à organiser sa succession et semble décidé à filer les clefs de la mairie à un de ses conseillers municipaux, le Peio Etchelecu, patron de la laiterie Agour d'Hélette, alors qu'il les avait pourtant promises à son second adjoint, l'excellent vice-président de l'Aviron bayonnais Christian Devèze. Mais comme ce dernier ne semble pas prêt à se laisser faire (ce qui n'est pas dans son caractère), le Un-Bru-de-sa-personne en devient tout énervé à tout propos et voilà que l'autre jour le Vincent - qui fut d'abord opposé à l'EPCI avant de s'y rallier (il espère une vice-présidence qu'il aura bien du mal à avoir...) - s'est permis de lui couper salement la parole (comme le font tous les grands démocrates) à ce sujet l'autre jour en Conseil municipal, au point de devoir lui faire, par la suite, platement des excuses en devenant tout rouge comme un gratte-cul, peuchère ! Depuis le Christian semble avoir pris ses distances avec son sécateur-maire et lui garde un paonneau de sa paonne... Une fronde au pays du petit Lu nous réjouirait bien dans les prochains mois... La fin de mandat risque d'être joyeuse !
D'autant plus que le paon de Chanteclerc s'il sait si bien faire la roue devant Ostia, rabat vite son caquet et ses plumes dès que l'on lève la voix, comme le racontait autrefois l'excellent maire d'Arcangues Jean-Michel Colo : "Bru c'est bien plus la poule d'eau que le paon pour moi ! Dès qu'il se mettait à faire l'instruit dans une réunion, il me suffisait d'élever un peu la voix et de frapper de mon poing la table. Et t'avait plus qu'à chercher le Vincent dessous où il jouait des castagnettes !"
Heureusement qu'il a tout l'été pour se détendre dans les jardins d'Arnaga en se faisant des infusions aux plantes... Sa rentrée risque d'être chaude !
Je vous laisse, Ma toute Douce, et à la semaine prochaine. Comptez sur moi.
Marie, votre Marie, Marquise de vérité.
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02/06/2016
Interview de Michèle ALLIOT-MARIE dans Var-Matin
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28/05/2016
DINER DÉBAT MAI
Une quarantaine de militants et de sympathisants du Chêne, le mouvement rassemblant les Gaullistes au sein des Républicains se sont retrouvés pour débattre sur "le monde associatif, acteur de la vie économique en France". Florence Samson, chargée de communication à l'association "Nouvelle Donne" nous a dressé l'inventaire du milieu associatif : 1,3 millions d'associations, environ 16 millions de bénévoles et 183 000 emplois salariés dans des domaines aussi variés que la culture, le sport, la formation, la politique, le médico-social,... Quelques inquiétudes liées au devenir du tissu associatif : la précarité de l'emplois sont majoritairement des emplois à temps partiel, des contrats aidés ; le financement, les dotations de l'Etat s'amenuisant elles doivent recourir de plus en plus soit à du mécénat soit à du partenariat privé. Là aussi on constate un désengagement des adhérents, notamment lors des assemblées générales. Pour faire face à la multiplication du nombre des associations il serait souhaitable d'en réduire le nombre en fonction de leur pertinence, de leur utilité et de leur but, ou de leur proposer une mutualisation des moyens. Quant au financement, certaines collectivités territoriales le font déjà, leur verser des subventions qui soient liées à une convention d'objectifs. Les associations participant à la cohésion sociale et au mieux vivre ensemble, Il est important de trouver des solutions pour les pérenniser.
Retrouvez les photos
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17/05/2016
Dans sud ouest
08:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
09/05/2016
Exquise Marquise de Vérité
Depuis que notre Chère Michèle Alliot-Marie est de nouveau candidate aux législatives dans la sixième, en 2017, les spéculations vont bon train sur ceux qui pourraient se présenter face à elle. Mais avant de vous en dire plus sur les deux gamins qui désirent lui faire la peau, il me faut répondre à votre interrogation figurant dans votre dernière missive. Vous m’écriviez : « J’ai rencontré MAM à Paris, Chère Marie, et elle ne semble pas avoir encore pris sa décision de se présenter aux législatives comme vous le prétendez ! »
Comme vous avez mis le doute dans mon esprit, j’ai demandé à mon chauffeur de me conduire par une belle journée ensoleillée de la semaine passée, chez mon vieil ami ZZ, qui habite bien au-delà de la Croix Blanche de Senpere, et qui sait bien des choses sur le monde politique local.
Arrivée à la porte de sa bergerie, notre Zuhur Zaharra m’a dit :
– Content de vous voir, je suis ! Ah bai, je sais pourquoi vous montez jusqu’ici nire txikia. Vous racontez, je vais…
Et mon vieux Basque, esprit brillant, m’a expliqué que ce que vous a dit MAM est en fait dans sa stratégie :
– Té, la vieille est une maline. Un pottok, comme elle, j’avais dans le temps ! Tu croyais le tenir, et hop, le voilà par un buisson qui le camp, me foutait ! La Michèle, à son entourage, a dit depuis des semaines qu’il fallait se tenir prêt pour la bataille. Et les voilà tous qui en ordre, se sont mis. Et là, l’amatxi de la sixième, te leur dit de sa voix autoritaire qu’elle a : « Mais enfin mes amis ! Mais enfin ! Qu’est-ce que c’est que cette histoire de ma candidature que vous osâtes répandre ! Mais je n’ai jamais rien dit de semblable, me semble t-il. Où êtes vous donc allé chercher ces fadaises ? » Et devant leurs figures étonnées, l’amatxi a aussitôt lâché : « Eh bien voilà ! C’est malin, maintenant je vais me trouver dans l’obligation de tenir VOS engagements et de me présenter. Ah croyez-vous que c’est malin ! Vous rendez-vous compte dans quelle situation vous me mites ?«
Voilà l’explication de notre cher vieux Basque, qui s’y connaît bien en matière de coup de chamelle, comme c’est normal dans le Zaharra ! Excusez-ma petite plaisanterie…
Et comme nous parlions de MAM, il est allé plus en avant dans son raisonnement :
– Maintenant, se méfier, la Michèle elle doit ! Mais avantage elle a ! Car avec la loi nouvelle, sur le non cumul des ardi gasna de la République, les grands maires de la Côte n’iront pas contre elle. Ni le Kotte, ni le Peyuco, ni le Mixel. Vous verrez, Dame Marquise, qu’elle aura en face d’elle que des seconds couteaux. Gagner elle pourra ! Mais… Mais…
– Oui cher Zuhur Zaharra ?
– Attention, elle devra faire ! Car pour gagner chez nous, un bon suppléant, avoir elle devra ! Qu’elle ne nous sorte pas encore un politique ! Ici, on aime qu’à côté du gros, un petit, il y ait, té ! Un bon gars de l’intérieur, connu, reconnu, qui a réussi dans la société. Un de chez nous ! De l’intérieur de la sixième, il lui faudra trouver ! Moi, je vous le dis !«
Ah, et quand le petit-fils de Zuhur Zaharra, Patxi, qui avait assisté à notre entretien, a eu la gentillesse de me raccompagner jusqu’à mon automobile, il m’a résumé en un langage de jeune le fond du problème, avec un sens politique bien proche de celui de son aitaxi :
– L’aitaxi a raison, vous savez Marquise. La mère Alliot-Marie, il faut qu’à 70 berges, elle nous propose un duo un peu plus sexe, quoi ! Il faut tenir compte de la nouvelle mentalité des électeurs, aujourd’hui ! Il faut que cette candidature soit fun ! Comme dirait l’aitaxi « Ecrire une belle fin d’histoire pour sa carrière« .
Voilà donc, ce que je peux vous dire au sujet de vos inquiétudes. Non seulement MAM ira aux législatives, puisqu’elle veut être la première femme dans l’histoire à présider l’Assemblée Nationale, mais elle a aussi grand intérêt à se débusquer le candidat rare qui aura une autre figure que le petit Lu d’Arnaga qu’elle avait choisi en 2012…
À propos du Vincent-un-bru-de-sa-personne, on ne sait s’il va se décider à partir contre MAM avec ses petits muscles de centriste, mais il y aura bien du monde à l’UDI pour se porter candidat et le paon de Cambo va devoir se battre, comme dans Radin-des-Bois qu’il aime tant. Mais il me faut surtout vous parler du couple qui a le vent en poupe ces temps-ci et qui est déjà dans les starting-blocks… Un couple de quadra constitué d’un homme et d’une femme. Et ce n’est pas un pléonasme, car aujourd’hui les couples, vous le savez, – même si ça traumatise nos amis de Béguios qui jouent de la harpe à Monseigneur – cela peut très bien être deux personnes du même sexe ! Alors du côté de la sixième circonscription à l’UDI, voilà qu’un Luzien, Stéphane Alvarez, président de la Croix Rouge, conseiller municipal de notre bon Peyuco, assureur de son métier, partirait avec une biarrote, Camille Darrasse, notre fameuse hôtesse de l’air, fille de l’adjointe du Parrain de la Côte, Nicole Darrasse.
De quoi provoquer ces commentaires d’Henri Levrero, le Tonton-Flingueur de MAM :
– Manquait plus que ça ! L’assureur peut se prendre une assurance sur la vie avec moi et une bonne ! Avec sa tronche de premier de la classe, je vais te le renvoyer au fond des bancs près du poêle, se réchauffer les fesses. Quand à l’hôtesse de l’air, l’assureur va pouvoir lui chanter du Dutronc, avant que je lui scotche les lèvres avec du chatterton rouge : « Fini le pilotage, Mais vive le pelotage. » et la gamine lui répondra : « Fini le décollage, mais vive le collage. »
Il faut dire que le bel Alavarez, surnommé par ses collègues au conseil municipal Brett Sinclair, a quelques chances de faire un joli tour de piste, comme me le confiait ce maire d’un village de la Côte : « Il est sympa, gentil et tendre. C’est un mec bien qui fait un gros boulot avec la Croix-Rouge. Et ça se sait, y compris dans les villages de l’intérieur. Lui, aurait fait bon suppléant pour MAM, car on sait qui c’est… Mieux que le Bru qui fut une erreur autant politique que poétique ! Il sait y faire avec les vieilles, un peu comme Bru, mais en beaucoup moins ringard, tasse de thé et petit doigt en l’air en moins !«
Certes le Brett Sinclair luzien est un peu passé dans tous les partis politiques de droite et du centre, et court après un poste, mais après tout est-ce un drame ? Et au moins, il sait ce qu’est la misère des pauvres gens lui, contrairement à Ostia qui préfère le coup que la Croix. Rouge, s’entend… Ostia de ostia ! :
– Maman, t’as donné mes vieilles cravates aux pauvres ?
– Eh non, Papa, ils en veulent pas !
– Mais on peut essayer de leur refiler le vieil imper à la Chips qu’il avait oublié chez nous et avec lequel tu avais couvert la Noiraude cet hiver… je vais le passer à laver dans la Vedette et il fera tout propre. Et avec le tissu, ils pourront habiller aux moins douze sans-dents !
Quant à la Camille, on l’a dit très dynamique, volontaire et engagée très tôt dans le militantisme politique chez les centristes… de quoi rajeunir les cadres et ringardiser le Pascal Sevran des mamies de Cambo qui devra, s’il se présente, abandonner ses vestes de chez Thiery & Sipetit pour s’offrir des pantalons de chez G-Star, et de courir chaque matin et chaque soir dans les allées d’Arnaga pour, comme le dit le petit neveu de mon jardinier, « se mouler un peu le cul » !
Je vous laisse, Ma toute Douce, et à la semaine prochaine. Comptez sur moi.
Marie, votre Marie, Marquise de Vérité
09:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/04/2016
DINER DEBAT AVRIL
Une soixantaine de militants et de sympathisants du Chêne, le mouvement qui rassemble les Gaullistes au sein des Républicains, se sont retrouvés pour débattre sur le RSI : protection ou danger du travailleur non salarié.Jean Yves AUFFRET, directeur régional du RSI nous a présenté le régime obligatoire des indépendants. Malgré les différentes controverses, Jean Yves AUFFRET a rappelé que le RSI est en moyenne 5 % au dessous du régime général. Il a insisté sur la nécessité de demeurer un régime régional afin de rester au plus proche et à l'écoute de ses adhérents, au travers de rencontres avec des clubs d'entreprises et des syndicats. Malgré quelques aménagements de nombreux problèmes persistent encore, c'est au pouvoir politique de s'en emparer et de légiférer sur le sujet afin d'en améliorer le système, pour aller vers une harmonisation, que le montant des cotisations soit calculé en temps réel afin que les réajustements n'interviennent pas un à deux exercices plus tard, ce qui fragilise voire met en péril l'activité de l'adhérent. Monsieur STRULLU, Président de la CGPME des Pyrénées Atlantiques a suggéré la possibilité de pouvoir faire appel à un médiateur, la possibilité d'auto déclaration. Michèle ALLIOT MARIE, notre présidente qui nous a fait l'honneur de participer à cette soirée a rappelé l'importance d'échanger entre organisme et utilisateurs afin de trouver des solutions pour un meilleur équilibre économique, une couverture plus importante et remédier à ce sentiment d'injustice des adhérents pour mieux travailler ensemble.
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