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09/11/2007

Commémoration de l'anniversaire de la mort du Général de Gaulle

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Mots de bienvenue du Maire de Ciboure GUY POULOU (MAIRE DE CIBOURE) et de Daniel POULOU (Député de la 6ème circonscription) au monument au mort de Ciboure.

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Dépot de la gerbe au Monument au Mort de Saint Jean de Luz par Peyuco DUHART, Maire de Saint Jean de Luz

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évidemment le CHENE était représenté ce Matin

Claude LOLOM : 1er adjoint à la Mairie de Ciboure
Michel HIRIART
Emma TORTES SAINT JAMMES : Adjoint au Maire de Saint jean de Luz  En charge des activités économiques, de l'artisanat, du commerce, du tourisme et de la pêche
Henri MENDIBURU
Henri LEVRERO
Guy CHARDIER : Adjoint au Maire de Saint Jean de luz En charge de l'etat-civil, des cérémonies et du protocole
Patricia ARRIBAS : Adjoint au Maire de Saint Jean de luz En charge de l'enseignement, de la jeunesse, de la formation, de l'orientation, de la vie professionnelle et de l'emploi
Gérard SALLABERRY : Conseiller Municipale de Saint Jean de Luz
Dolores Garbisu
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Vue d'ensemble au momument aux morts de Saint Jean de Luz.
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de gauche à droite :
Claude LOLOM : 1er adjoint à la Mairie de Ciboure
Isabelle DUBARBIER : Adjoint au Maire de Ciboure en charge du tourisme
Michel HIRIART
Dolorès GARBISU :
Henri MENDIBURU
Henri LEVRERO
Marie Laure LEVRERO :

14:25 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ump, mam, le chene

07/11/2007

Michèle Alliot-Marie défend la "complémentarité des mandats"

Michèle Alliot-Marie a défendu la "complémentarité des mandats", par opposition au "cumul des mandats", lors d'une audition publique organisée mercredi au Sénat par l'Observatoire de la décentralisation.

 

"On ne doit pas parler de cumul des fonctions", a déclaré Mme Alliot-Marie, jugeant cette notion "connotée", "on doit parler de complémentarité".

"Les fonctions de maire et de député ont une vraie complémentarité" qui permet une "meilleure adaptation de la loi à la vie locale", a-t-elle expliqué, faisant valoir qu'il y avait également une complémentarité "entre le poste de sénateur et le poste de conseiller régional ou de conseiller général".

La ministre intervenait dans un débat ouvert par l'Observatoire de la décentralisation, que préside l'ancien ministre Jean Puech (UMP), sur la double question du statut de l'élu et du cumul des mandats.

L'Observatoire, dans la ligne tracée par le comité Balladur sur la réforme des institutions, propose d'interdire le "cumul des fonctions qui doivent s'exercer à temps plein", jugeant incompatible le mandat de parlementaire avec les responsabilité de chef d'un exécutif local.

Il propose en contrepartie que les chefs d'exécutifs locaux (maire d'une grande ville, président de conseil général et de conseil régional) "bénéficient d'un véritable régime statutaire leur permettant d'exercer leur fonction à temps plein".

Mme Alliot-Marie a également exprimé des réserves sur les propositions de la commission Attali, qui préconise une clarification de l'organisation territoriale de la France autour des régions et de l'intercommunalité.

"Vouloir ignorer les communes et les départements, c'est n'avoir aucun sens des réalités sur le terrain", a-t-elle dit, soulignant qu'il s'agissait des "deux seules collectivités" avec lesquelles les citoyens ont un "lien affectif fort".

Dans un rapport préliminaire rendu public mercredi, M. Puech plaide pour sa part en faveur d'un "clarification des compétences de chaque niveau d'administration locale".

Il propose en outre de "renforcer la légitimité des exécutifs locaux en recourant à un mode plus direct de désignation". "Alors que le président de la République est élu au suffrage universel, au niveau local, c'est encore la IIIe ou la IVe République", a-t-il ironisé.

L'Observatoire de la décentralisation, organe du Sénat, compte proposer sur ces questions un "grand débat parlementaire", qui pourrait déboucher sur des propositions de loi.

05/11/2007

Michèle Alliot-Marie : «Nous devons construire des frontières électroniques contre la criminalité»

Entretien de Michèle ALLIOT MARIE avec le quotidien Marocain : Aujourd'hui le Maroc paru ce Lundi 5 Novembre

                                     81e4a8af5cae65333ffb18ff6832c699.jpg La 76ème session de l'Assemblée générale d'Interpol se tient du 5 au 8 novembre à Marrakech. A l’occasion, Michèle Alliot-Marie, la ministre française de l’Intérieur, réitère l’urgence de renforcer les efforts entre le Maroc et la France pour la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes, y compris le terrorisme.


ALM : Vous participez aujourd’hui à l’assemblée générale d’Interpol à Marrakech. Quel sera votre message et quelles propositions allez-vous faire pour rendre cet organisme encore plus performant dans ses missions ?

Michèle Alliot-Marie : Ma présence à Marrakech est l’occasion de porter le témoignage de l’amitié ancienne et profonde entre la France et le Maroc. C'est aussi l'occasion d'apporter mon soutien à Interpol où plus de 180 pays au monde coopèrent contre la criminalité, et dont le siège est à Lyon. Avec le Comité exécutif et le secrétaire général, Ronald Noble, nous allons œuvrer à renforcer encore la coopération et les échanges d’information entre les polices du monde entier.
La lutte contre le crime organisé au 21ème siècle passe par la réalisation d’analyses communes entre polices des cinq continents et par un recours massif aux technologies les plus modernes. Dans un monde globalisé, nous devons construire des «frontières électroniques contre la criminalité». La lutte contre la drogue, contre la pédophilie et contre le terrorisme implique la formation commune des policiers, le développement de centres d'analyses du renseignement et l'utilisation de logiciels de plus en plus performants. Les valeurs de la démocratie et des droits de l’Homme participent de la coopération entre les polices. Je suis venue réaffirmer au nom de la France leur signification pour les citoyens du monde entier et pour les services de sécurité qui unissent leurs efforts pour les protéger.

Les relations entre la France et le Maroc sont au beau fixe, comme vient de le montrer la récente visite de Nicolas Sarkozy. Comment cela se traduit-il au niveau de la coopération sécuritaire entre les deux pays?
Mes relations de travail avec votre ministre de l’Intérieur, Chakib Benmoussa, sont confiantes et constructives. Elles sous-tendent les travaux des services spécialisés de nos deux pays. La lutte contre le terrorisme exige de favoriser les échanges d’information et de structurer des rapports institutionnels confiants.  Au-delà de l'intensification de la coopération policière, la France et le Maroc entretiennent un partenariat exemplaire pour la sécurité civile et la coopération entre les administrations territoriales. Les walis marocains et les préfets français procèdent à des échanges fructueux dans le domaine de la décentralisation et de l’organisation des services publics. Les échanges entre les ministères de l'Intérieur des deux pays ont ainsi atteint un niveau sans précédent. Le Maroc est au premier rang des interlocuteurs de l'Union européenne non seulement parce que c'est un grand pays mais aussi en raison de la capacité de ses dirigeants à s'impliquer pleinement dans les projets euro-méditerranéens.

Le Maroc et la France font de la lutte antiterroriste une priorité absolue. Quelle évaluation faites-vous des risques qui menacent les deux pays ?
Les risques sont élevés. Ils continueront à l'être dans les prochaines années. Il n'existe aucune protection absolue contre le terrorisme. Cependant, nous avons démontré notre capacité à déjouer des tentatives d'attentat et à punir leurs auteurs. Depuis une vingtaine d'années, la grande majorité des auteurs d'actions terroristes ont pu être arrêtés et jugés. Après un travail minutieux du ministère de l’Intérieur, la Justice en France a condamné le 11 juillet 2007 à de lourdes peines de prison les huit complices des attentats terroristes liés au Groupe islamique combattant marocain qui ont eu lieu à Casablanca. La lutte contre le terrorisme international implique un effort permanent qui continuera de mobiliser nos énergies pour parvenir à anticiper et non pas seulement à réagir.

«Al Qaïda au Maghreb islamique» est apparue récemment comme une organisation qui fait peser une menace mortelle sur les pays du Maghreb, comment la France traite-t-elle ce phénomène ?
Cette organisation terroriste place le Maroc et l'Algérie, mais aussi la France, l'Espagne, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Italie, en première ligne de ses objectifs. Elle a déjà fait couler beaucoup de sang. Nous sommes tous solidaires dans la lutte contre Al Qaïda. L'information en temps réel est un enjeu constant pour les services. Il faut sans relâche neutraliser les noyaux qui se forment en vue d'éviter les attentats. Mes services sont mobilisés jour et nuit dans ce long et difficile combat. La réorganisation des services de renseignement, pour disposer d'un pôle moderne et unique de renseignement intérieur, s'inscrit pleinement dans cette démarche de recherche d'efficacité. A ce titre, la France a redéfini sa doctrine de lutte anti-terroriste en intégrant une réponse globale, qui comprend aussi des mesures d’aide aux victimes, une meilleure coordination des services et des actions de communication. Dans nos sociétés aujourd'hui, la sécurité collective dépend aussi du progrès économique et social au profit des populations les plus démunies.

Pendant votre séjour au Maroc, vous avez rencontré votre homologue marocain Chakib Benmoussa. Sur quels dossiers urgents la coopération entre vos deux ministères peut-elle connaître une accélération?
Nous voulons accélérer le traitement des grands dossiers. Ils sont nombreux. C'est le cas de la coopération dans le domaine de la police technique et scientifique, de la lutte contre la drogue en Mer Méditerranée ou encore de la menace terroriste. Ces thèmes sont également évoqués dans le cadre de la conférence des ministres de l'intérieur de la Méditerranée occidentale (CIMO). Plus de 50 actions de coopération franco-marocaine, en police, formation ou sécurité civile seront réalisées en 2008… C'est notre contribution à la mise en œuvre du partenariat stratégique qui lie la France et le Maroc, dans le domaine de la démocratisation et de la consolidation de l’Etat de droit, tel que souhaité par Sa Majesté le Roi.

En tant que ministre de l’Intérieur et des Cultes, attendez-vous à une coopération particulière de la part du Maroc en ce qui concerne les affaires islamiques?
La France est une nation qui connait bien l'Islam du fait de son histoire et en raison de la place importante qu'y occupe la religion musulmane. Une importante communauté de ressortissants marocains, ou d'origine marocaine, vit en France. Leur représentation est importante au sein du Conseil français du culte musulman, créé en 2003, pour fournir aux autorités françaises un interlocuteur officiel des communautés musulmanes.
La communauté musulmane dispose également désormais d'une fondation des œuvres de l'Islam dont la mission est notamment de favoriser la construction des mosquées.
Nous sommes très actifs dans la recherche d'un dialogue entre l'Europe et le monde musulman. Je n'oublie pas le rôle tout à fait significatif que les communautés musulmanes et notamment la communauté marocaine ont joué dans la transformation de la France en un Etat moderne et prospère pendant plusieurs générations, ni la reconnaissance que nous devons aux musulmans qui ont combattu pour la France.
La grande mosquée de Paris qui fut construite en signe de reconnaissance pour les combattants musulmans morts au champ d'honneur pour la défense de la France a été inaugurée le 15 juillet 1926 par le Sultan Moulay Youssef, arrière-grand-père de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

13:30 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ump, mam le chene

04/11/2007

MAM et LE CHENE sur FACEBOOK

Presse, télévision, radio , l'événement de l'année est numérique. Il est impossible d'y échapper et ça s'appelle Facebook. Il s'agit de constituer un réseau informatique important entre personnes.Chaque jour Facebook reçoit environ 200 000 nouvelles inscriptions.

Michèle ALLIOT MARIE a désormais le sien et compte déjà une vingtaine de membres depuis hier. Je vous invite à rejoindre ce groupe le plus rapidement possible pour montrer que MAM est soutenue par les Français.

Facebook de MAM : http://www.facebook.com/profile.php?id=612874157 

Facebook de "LE CHENE" : http://www.facebook.com/group.php?gid=5332123534

14:20 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ump, mam

31/10/2007

Traité simplifié, Mini Traité, Maxi traité, mais pourquoi faire ?

Depuis janvier 2007, la présidence de l'Union , assumée par l'Allemagne, a été chargée de rédiger un rapport "explorant les évolutions futures possibles".
En juin dernier, avec un très fort lobbying de la part du chef d'Etat français nouvellement élu, Nicolas Sarkozy, les 27 Etats membres de l'Union sont parvenus à trouver un accord sur les grandes lignes du futur traité simplifié de l'Union européenne, à l'occasion du Conseil Européen .
La rédaction de ce Traité simplifié européen très attendu  a été achevée et la version finale adoptée par les chefs d'Etats et de gouvernement des pays de l'Union, réunis à Lisbonne la semaine dernière, le 18 octobre.
Une fois signé, le 13 décembre prochain, il devra être ratifié par tous les Etats membres afin d'entrer en vigueur en 2009.

Le texte reprend l'essentiel de l'accord obtenu en juin dernier sur les dispositions fondamentales de la Constitution rédigée par Valéry Giscard d'Estaing notamment le nouveau mécanisme de vote (double majorité) qui garantit un meilleur équilibre entre les petits et les grands Etats, la création d'un poste de Super Président stable au Conseil Européen qui assurera la représentation extérieure de l'Union, l'extension du vote à la majorité qualifiée et enfin la Charte des droits fondamentaux, adoptée à Nice, reprise dans la deuxième partie du projet de Traité constitutionnel, qui est intégrée dans le traité simplifié.

Cet accord est-il, selon vous, un accord qui sauve les apparences et permettra t-il de sortir l’Union Européenne de l’impasse dans laquelle elle se trouve ?

Pensez-vous que le nouveau Poste d’un Super Président accroîtra la visibilité et la continuité de la diplomatie européenne et garantira une action sur la durée ?

Pour probablement éviter une nouvelle crise institutionnelle, il a été décidé que ce traité soit ratifié en France par la voie parlementaire.
Pensez-vous que la forme parlementaire soit une bonne chose ou qu’il faille repasser par un référendum, au risque d’un nouvel échec ?

Pensez-vous que ce mini traité va relancer de manière efficace la dynamique européenne ?

Enfin, de nombreux sujets comme la sécurisation des ressources énergétiques, la lutte contre le réchauffement climatique, le développement durable de la planète, l’innovation, la création d’emplois, démographie, migrations… qui ne peuvent être traité qu’à l’échelle européenne ne sont pas développés dans le texte du traité simplifié. Pensez-vous que ce traité simplifié soit complet ? Quels sont les sujets qui vous paraissent importants et qu’il aurait fallut développer davantage ?

Participez au nouveau forum du Chêne

http://www.lechene.org/forum/

30/10/2007

Redécoupage électoral

Le ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a annoncé mercredi la présentation à la mi-2008 d'un "nouveau découpage électoral", difficile chantier réclamé notamment par le Conseil constitutionnel et dont la forme pourrait dépendre de l'introduction ou non d'une dose de proportionnelle aux législatives.

La carte actuelle des 577 circonscriptions législatives, dessinée en 1986 et fondée sur un recensement vieux de 25 ans, est marquée par de fortes disparités démographiques. Et d'un département à l'autre, les députés sont loin de "peser" le même poids en termes de population.

Ainsi, un élu de Lozère (deux circonscriptions) représente 38.466 habitants (données INSEE de 2005), un de Haute-Garonne (huit circonscriptions) 144.479.

Fort de cette constatation, le Conseil constitutionnel a, à plusieurs reprises au cours des dernières années, recommandé un remodelage au nom de "la recherche de l'égalité".

Dès 2005, les sages du Palais Royal avaient ainsi rappelé que le découpage actuel, opéré par Charles Pasqua pour le retour au scrutin majoritaire après la brève expérience de proportionnelle de 1986, reposait sur un recensement de 1982. Depuis, relevaient-ils, deux autres recensements ont eu lieu.

Or le code électoral stipule (art 125) qu'il est "procédé à la révision des limites des circonscriptions, en fonction de l'évolution démographique, après le deuxième recensement général de la population suivant la dernière délimitation".

Le redécoupage annoncé mercredi par Mme Alliot-Marie devant la Commission des Lois de l'Assemblée nationale et qui devrait être présenté "en milieu d'année 2008", aura pour premier objectif de remédier à cette anomalie.

Le ministre, qui répondait au député Jérôme Lambert (PS), a précisé qu'un des "principes" du groupe de travail chargé du projet de redécoupage était de rechercher "plus d'équité dans le nombre d'habitants par circonscription, avec des circonscriptions qui seraient aux alentours de 125.000 habitants", selon une source parlementaire.

Fixer la barre à ce niveau pourrait toutefois signifier l'abandon d'un autre principe, toujours respecté lors des découpages précédents et y compris lors de la tentative avortée menée par le gouvernement Villepin en 2005: maintenir au moins deux députés par département, ce qui est le cas aujourd'hui dans 16 d'entre eux.

Un consensus existe en effet pour ne pas dépasser le nombre actuel de 577 députés et une meilleure représentation des départements urbains les plus peuplés ne pourrait se faire qu'au détriment des départements les plus ruraux.

L'affaire risque d'être d'autant plus compliquée que le redécoupage pourrait s'accompagner, dans le cadre de la réforme constitutionnelle, de l'introduction d'une dose de proportionnelle lors des élections législatives.

Le comité Balladur devrait ainsi proposer, dans son rapport au chef de l'Etat lundi, qu'une trentaine de députés soient élus à la proportionnelle sur une liste nationale: ce ne sont donc plus 577 circonscriptions mais 547 qui devraient être redessinées.

Autre conséquence du redécoupage: la carte actuelle des cantons sera aussi modifiée afin qu'une "circonscription législative ne passe pas au milieu d'un canton", selon Mme Alliot-Marie citée par un parlementaire.

Compte-tenu des débats et controverses qui accompagnent généralement toute modification de la carte électorale, le ministre a pris soin de préciser que "bien évidemment, sur la méthode, les élus seraient associés",

(AFP)