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16/11/2006

Lu pour vous dans la presse allemande

medium_images.jpg« Les adversaires qui s’opposeront en France lors du grand duel présidentiel du printemps 2007 s’échauffent, quant à eux, depuis si longtemps que le score final change chaque semaine, au gré des commentaires de presse et des débats télévisés : à droite, Nicolas Sarkozy, à gauche, Ségolène Royal. Pour le moment, cette dernière mène la course avec deux points d’avance.

Mais il en a déjà été autrement. Et cela pourrait encore changer. Si Nicolas Sarkozy, par exemple, se laisse encore une fois aller à son impatience fébrile. S’il dépasse les bornes une fois de trop avant le congrès d’investiture à la mi-janvier ou fait venir une horde de caméras lors de razzias en banlieue, si son mariage est confronté à une nouvelle crise ou si les militants UMP prennent peur face à ses positions économiques libérales.

Si cela arrive, une remplaçante est d’ores et déjà prévue : Michèle Alliot-Marie, surnommée MAM.

L’actuelle ministre de la Défense a plus qu’il ne faut pour une candidature crédible. Elle bénéficie d’une solide formation de juriste. Elle connaît toutes les ficelles de la politique française : elle a été maire puis députée, elle a présidé le parti néo-gaulliste pendant trois années difficiles, et elle est une femme. Après les apparatchiks allemands, c’est au tour de leurs collègues français de reconnaître que le goût du public a changé et qu’il va désormais au sexe jusque-là écarté du pouvoir. On les croit quelque part capables de gérer les affaires « différemment », sans plus leur imputer d’emblée une incompétence d’ordre génétique.

Si Nicolas Sarkozy doit faire défaut, Michèle Alliot-Marie est, à l’UMP, l’alternative la plus plausible. Aussi, depuis l’été dernier, son compagnon est autorisé à faire savoir, dans les entretiens qu’il donne régulièrement, qu’elle « évoque sérieusement la possibilité de poser sa candidature. Elle réfléchit aux grandes lignes programmatiques et y travaille beaucoup, je le sais », répète Patrick Ollier presque invariablement.

Mais pourquoi les Français devraient-ils voter pour Michèle Alliot-Marie, 60 ans, sans enfant, plutôt que pour la séduisante Ségolène Royale, 53 ans, mère de quatre enfants ? Parce qu’elle est, par exemple, une bonne ministre de la Défense , souveraine, courageuse, à la fois stricte et chaleureuse. L’armée est l’institution républicaine préférée des Français avec un taux d’approbation de presque 90 %, un chiffre qui déteint lorsque la fonction et son responsable fusionnent aussi bien que dans le cas de Michèle Alliot-Marie. Elle se rend sur tous les foyers de crise où opèrent des soldats français, ne se laisse impressionner par personne, saute aujourd’hui tout naturellement en parachute et trouve les mots justes pour s’adresser aux familles en quête de réconfort. On entend dire ici ou là que les soldats, auxquels il est arrivé de se moquer de l’un ou l’autre de ses prédécesseurs masculins, sont à ses pieds. Sa force de persuasion face au ministre des Finances n’y est certainement pas étrangère : depuis le début de son mandat, le budget de la Défense est en constante augmentation.

Lors d’un congrès restreint de l’UMP à la fin de l’été dernier, elle a été la seule, outre Nicolas Sarkozy, à tenir un discours programmatique. Les jeunes participants lui ont fait une véritable ovation, aux cris de « Michèle présidente ! ».

 TOUS AVEC MAM

15/11/2006

LE 64 avec MAM

Aujourd’hui 15 novembre,

le blog de soutien des Pyrénées-Atlantiques

à Michèle Alliot-Marie

est accessible à tous

Rappelons les faits !

Michèle Alliot-Marie a crée une association en référence à  son livre «Le Chêne qu'on relève» qui définit les axes de sa vision politique, et de ce quelle croit pour la France et pour les Français. Elle souhaite pouvoir exprimer et transformer en propositions concrètes, les idées qu'elle défend, en étant à l'écoute de tous.

Le 14 octobre dernier, Michèle Alliot-Marie, Présidente de la fédération UMP 64, s’est d’ailleurs exprimée devant le comité départemental réuni à Salies de Béarn et que nous-a-t-elle dit ?

1.      Le Gouvernement doit gouverner jusqu’au bout.

2.      Il faut un projet et j’y apporterai ma contribution. C’est le sens de ma démarche avec l’association Le Chêne.

3.      Le moment venu, il faudra un seul candidat pour porter le projet de notre mouvement.

En effet, la question est de savoir quelles sont nos idées et qui sera en mesure de les faire gagner, pour éviter une victoire de la gauche en 2007, qui mettrait en oeuvre un programme qui ferait régresser la France ».

Si l'élection avait lieu aujourd'hui, sans doute Nicolas Sarkozy serait-il le mieux placé pour l'emporter. Mais ce n'est pas aujourd'hui que la question se pose. Si, le moment venu, Nicolas Sarkozy est le mieux placé pour gagner, je me battrai pour que l'union se fasse autour de lui. Si un autre, ou une autre, semble mieux placé, je ne doute pas que Nicolas fera de même ».

Les choses sont donc très claires.

C’est la raison pour laquelle nous nous félicitons de la contribution qu’apportera Michèle Alliot-Marie à la préparation du débat présidentiel.

nous aurons, ici particulièrement dans ce département des Pyrénées-Atlantiques où elle est élue depuis 20 ans,  à cœur de participer aux réflexions et au débat d’idées qu’elle propose.

Aux côtés de Michèle Alliot-Marie, nous donnerons un sens à l'action politique en nous engageant dans le débat qui s’inscrit au sein de l’UMP pour la prochaine campagne présidentielle.