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30/05/2009

Diner rencontre de la branche des Pyrénées Atlantiques

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Les adhérents et sympathisants du Chêne ont planché en Mai sur le Thème :

 

"La construction européenne : quelle union pour demain ?"

 

 

Toutes les contributions émises par les adhérents et sympathisants sont remontées au Centre National ainsi qu’au Comité exécutif du mouvement Présidé par Michèle ALLIOT MARIE.

 

 

A l'approche des élections européennes du 7 juin prochain, les adhérents et sympathisants du Chêne des Pyrénées Atlantiques ont pu s’exprimer , sans langue de bois, sur la construction européenne.

 

De nombreuses contributions ont été écrites sur le fonctionnement institutionnel de l'Union Européenne, qui dans l'état actuel des choses ne semble parfaitement convenir ni aux européens ni à leurs représentants.

 

L'europe ce n'est pas seulement un Hymne, l'euro, un drapeau ; c'est aussi, et peut être avant tout, une puissance économique et diplomatique de premier plan. Ce sont des peuples aux cultures différentes mais qui s'inscrivent dans une histoire commune, et qui ont choisi de prospérer ensemble, malgré des besoins et des points de vue parfois divergents. 

 

D’autres contributions demandent de rendre le fonctionnement de l’Europe plus efficace, plus transparent, plus démocratique aussi, et que le travail des députés européens soit davantage mis en avant, de sorte que les électeurs se sentent liés, intéressés au Destin de l'Europe, qui ne se joue pas seulement à Bruxelles, mais aussi en France.

 

Un certain nombre de regrets se sont faits sentir concernant l'Europe unie que nous voudrions tous et qui est remise en cause.

 

Par les enjeux nationaux qui se substituent aux enjeux européens lors des élections, par le jeu dangereux d'un certain nombre de mouvements aux discours démagogiques en Europe, mais aussi en France, et qui ne font que déstabiliser un équilibre déjà précaire depuis les "non" au Traité sur la Constitution européenne, et au Traité de Lisbonne.

 

Du point de vue de la Défense européenne, et dans la ligne de ce que Michèle Alliot-Marie avait commencé à mettre en oeuvre lorsqu'elle était Ministre de la Défense, l'Europe doit se doter d'une armée capable de relever les défis d'aujourd'hui, que ce soit dans la guerre contre le terrorisme, ou dans des conflits locaux comme au Liban ou au Darfour.

 

L'Europe doit pourvoir AGIR sur tous les fronts !

 

Comme le veut notre tradition un diner mensuel de compagnonnage, organisé à BIRIATOU a donné l’occasion aux 50 militants présents, réunis autour d’Henri Levréro chargé de mission départemental et de toute son équipe (anne le bihan, michel hiriart, patricia gloaguen,didier irastorza,thomas balleyguier,thomas lambert, stéphane alvarez et jean michel barate), d’échanger également sur des thèmes d’actualités locales et nationales.

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28/05/2009

Discours de Michelle Alliot-Marie (Saint Mandé)


Discours de soutien de Michèle Alliot Marie à la liste d'union de la majorité présidentielle lors du meeting départemental du val de marne à Saint-Mandé le lundi 25 Mai

Michèle Alliot-Marie invitée de Canal +

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Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, et Présidente du Chêne, est l'invitée du "Grand Journal" de Canal+, ce jeudi 28 mai 2009, à 19h05.

 

26/05/2009

Européennes 2009 : Réunion Publique autour de Michèle Alliot-Marie à Biarritz

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Dans le cadre de la campagne pour l'élection des représentants français au parlement européen, Michèle Alliot-Marie, Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, et Présidente du Chêne, animera une réunion publique de soutien à la liste de la majorité présidentielle dans l'eurocirconscription Sud-Ouest , conduite par Dominique Baudis, Christine De Veyrac, et Alain Lamassoure.

Cette réunion aura lieu :

le Samedi 30 Mai à 18h30

au Casino municipal de Biarritz (64)

21/05/2009

Sur le thème : "La construction européenne : quelle union pour demain"

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Thomas LAMBERT

BIARRITZ

Comme le dit le titre, l’Europe est toujours en construction, et c’est bien cela le problème. En France, les eurosceptiques sont nombreux. Et nos grands partis politiques font preuve de modestie quant à la campagne européenne. Certes, le Modem est très concerné par ces échéances, pour justifier de son fond de commerce. Il est vrai que les politiques européennes économiques, militaires, sociales, fiscales et internationales sont peu lisibles voir dispersées. La non-harmonie fiscale des entreprises européennes conduit de facto à la délocalisation intra européenne, donc une concurrence interne. Il serait souhaitable que l’harmonisation s’impose des dans délais brefs afin de concrétiser l’un des enjeux majeurs de l’Europe : L’Europe contre le reste du monde. En période de mondialisation accrue, cette priorité me semble toujours d’actualité.
Mais alors, à quoi peut bien servir l’Europe ? La crise actuelle est une parfaite illustration de son intérêt. La crise aurait entrainé inévitablement des dévaluations sauvages et multiples entre pays européens. L’histoire est en révélatrice. Une dévaluation peut être choisie et/ou subie. Il faut rappeler qu’une dévaluation traduit un manque de confiance dans la monnaie d’un pays par le reste du monde. L’euro est une des toutes premières monnaies mondiales, et il est juste de parler de réajustement des taux de change entre les grandes monnaies plutôt que de dévaluation. Les conséquences à court, moyen et long termes sont bien moindres. Dans quel état financier serions-nous aujourd’hui sans l’Europe monétaire ? De plus, bon nombre de nos grandes entreprises qui évoluent sur le CAC40 sont très assujettis aux fluctuations monétaires. Ils doivent jongler avec le cours des différentes monnaies pour éviter les pertes de marge. La couverture des taux de change permet à l’entreprise telle que LVMH ou L’Oréal d’anticiper les fluctuations financières. Avant L’Euro, ces exercices étaient bien plus périlleux.
Au sujet des délocalisations intra-européennes avec les pays de l’est, l’exemple de Renault me semble approprié. Ce n’est pas de gauche que de vouloir du travail pour tous en France. Quand Renault produit des voitures dans des pays de l’est, ces voitures sont destinées sur ces mêmes marchés à des prix très bas, grâce à la main d’œuvre locale bon marché. Renault réalise un bénéfice sur ces ventes et cette plus-value revient en France. Cette plus-value permet également de couvrir certaines usines en France qui souffrent d’un ralentissement de la consommation domestique. Il est important de le reconnaître. Je comprends les eurosceptiques et les limites européennes, mais je ne peux concevoir que ceux sont les mêmes personnes qui enragent au sujet des délocalisations et qui veulent (à juste titre) faire travailler la main d’œuvre en France, et qui achètent des voitures étrangères moins chères ou même lowcost. Si les usines de Renault en France sont moins rentables, c’est que leur production pour le marché domestique baisse, ce qui signifie que les français achètent moins français ! Cette situation était la bien avant l’Euro, et au dire des chefs d’entreprise de cette industrie, l’Europe a permis de réduire l’écart entre les pays intra-européens et le reste du monde.
Quelle union pour l’Europe ? L’Europe peut elle être unie ?  Elle l’est et na guère le choix à vrai dire. Toutes les régions de monde se regroupent (ALENA, MERCOSUR…). Face à la mondialisation, l’union fait la force. Et la Turquie ? Je connais la sensibilité du sujet, mais est-ce interdit de poser la question ? Nous avons demandé à la Turquie 10 ans pour être à jour sur les critères d’entrée pour l’union, et d’être irréprochable sur les droits de l’homme et sur Chypre. Imaginons que dans 10 ans ils y arrivent, allons-nous leur dire non par la suite ? N’est-ce pas limite des dire à quelqu’un de faire des efforts très importants et lui dire en même temps que de toute façon on ne veut pas qu’il y arrive. Les économistes se rejoignent pour prédire une puissance turque très importante dans les prochaines années. Je pose la question, s’ils ne sont pas avec nous, seront-ils contre nous ? Ne vivraient-ils pas mal le fait que leur demande de faire des efforts et au final rien ? Ne vont-ils pas le vivre comme une injustice et se retourner vers leurs voisins de l’Est ? Cette question a le mérite d’exister. Au final, l’Europe se demande si elle veut l’union en sachant qu’elle n’a pas le choix et ces dans l’intérêt commun. L’europe veut –elle laisser entrer la Turquie ? Mais au final, La Turquie voudra t’elle rentrer dans l’Europe ?

 

20/05/2009

Michèle Alliot-Marie répond à Manuell Aeschlimann


Michèle Alliot-Marie, Ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des collectivités territoriales, répond à Manuel Aeschlimann, Député des Hauts-de-Seine, au sujet de l'attaque de policiers (19 mai 2009).