23/07/2008
Jean-Luc Warsmann - Vote pour la réforme des institutions
Jean-Luc Warsmann, Député des Ardennes et rapporteur du texte du projet de loi de la modernisation des institutions au nom de la commission des Lois, s'exprime à la suite du vote pour la réforme des institutions lors du Congrès de Versailles
Commentaires
Il est cocasse de constater que le Congrès vote comme la ville d'Urrugne à 2 voies près! Mr Poulou y serait-il pour quelque chose?
Écrit par : Jean-Michel LAMBERT | 25/07/2008
Il est urgent, dans l'intérêt général ( celà va sans dire..), de diminuer la dette publique. Ce n'est plus tenable, nous le savons. Nous faisons payer les générations futures avant même qu'elles ne soient nées. Nous disons être responsables, mais l'Europe nous rapelle sans cesse à l'ordre : nous sommes dans le rouge. A plus de 60 % le texte est passé. Monsieur WARSMANN met l'accent sur un meilleur contrôle de l'action du Gouvernement de la part des députés, sur l'évaluation des politiques publiques, en se servant d'études d'impact pour vérifier la nécessité d'une nouvelle loi, et ainsi mieux maîtriser l'utilisation des deniers de l'état.
On peut se satisfaire de la bataille remportée à l'Assemblée. Mais attention ! Il s'agit maintenant de bien faire comprendre aux Français la portée d'une telle réforme, de s'y tenir, de donner les moyens nécessaires pour son application (moyens qui ne s'évaluent pas qu'en termes financiers). Nous verrons tout ceci concrètement, sur le terrain, dans le quotidien de chacun d'entre-nous. Les Textes c'est une chose, les accompagner s'en est une autre. Ne négligeons pas les acteurs qui au plus près du citoyen vont et doivent mettre les choses place. Tout dépendra de leur volonté, de leur compétence, et de leur capacité à réunir les énergies nécessaires pour celà. Gageons que celà se fasse vite, sans tergiversations, ni jérémiades, pour je ne sais quelle obscure raison, avant que nous ne disions de la France qu'elle n'est plus qu'un vieux pays au passé glorieux. Si ce n'est déjà fait...
Hdy, le 26/07/08 Colette CADIEU
Écrit par : CADIEU | 26/07/2008
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