22/04/2008
Nous avons besoin de vous
Le Chêne est un lieu de réflexion. Il vocation à contribuer au Débat d’Idées au sein de la majorité, et à être le pôle de rassemblement de celles et ceux qui portent les idées du gaullisme moderne. Grâce à son organisation territoriale, il entend également jouer un rôle d’animateur local et être concrètement force de propositions et d'actions.Nous avons besoin de vous pour agir, sur le terrain, sur internet, en apportant vos contributions, vos propositions, pour incarner ce "laboratoire d'idées" que nous appelons de nos voeux.
les trois prochains thèmes sont :
Le Dialogue Social
La place des Seniors au coeur de notre société
L'Europe et la présidence française de l’Union
N’hésitez pas à nous faire parvenir vos contributions sur ces thèmes : 64@branche.lechene.org
05:51 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Le travail des Séniors:
Il est indéniable qu'avant d'allonger le temps de cotisation, il importe de s'occuper de remettre les plus de" cinquante ans "qu'on ne devrait pas appeler "seniors" car ils font, encore, à cet âge, parti des forces vives de la nation.
Mais n'est-il pas trop tard? Voilà plus de vingt ans qu'on se débarasse des "vieux" (qu'ont été malignement complexé) pour les mettre en pré-retraite ou les inciter à donner leur place à des jeunes avec des primes de départ qu'ils ont eu du mal à refuser.N'a-t-on pas entendu:" avec votre (trop) gros salaire, on pourrait embaucher deux jeunes..."
Les mentalités, les habitudes sont désormais encrées dans l'esprit de tous et personnellement je pense qu'il faudra de très nombreuses années pour, de nouveau, aprécier à leur juste valeur le savoir-faire des anciens, pour se persuader que la mémoire (d'entreprise ou autres) a une valeur difficilement quantifiable mais surement indispensable.
Les "baby-boomers" sont désormais sur la touche ou entrain d'y arriver; or, les jeunes, après 30 ans de laxisme et de démagogie, de faillite de l'école et/ou de l'université ne sont que peu prêt à prendre la relève, d'autant qu'on leur a mis dans la tête que la valeur TRAVAIL n'est plus d'actualité.
Aussi, il me semble que, rapidement, d'une situation de sur-effectif,nous allons nous retrouver dans une sitution de sous-effectif avec un nombre important de jeunes trentenaires incapables de trouver un emploi à la mesure de leur "non-formation", et c'est la société toute entière qui en supportera les conséquences.
NON, la loi ne résoudra pas le problème des quinquas; ancune loi n'a jamais fait changer rapidement les mentalités.
Comme de nombreuses autres questions fondamentales, c'est dans les années 80 qu'il aurait fallu s'en occuper.
Jean-Michel LAMBERT
Écrit par : Jean-Michel LAMBERT | 22/04/2008
Le travail des Séniors:
Il est indéniable qu'avant d'allonger le temps de cotisation, il importe de s'occuper de remettre les plus de" cinquante ans "qu'on ne devrait pas appeler "seniors" car ils font, encore, à cet âge, parti des forces vives de la nation.
Mais n'est-il pas trop tard? Voilà plus de vingt ans qu'on se débarasse des "vieux" (qu'ont été malignement complexé) pour les mettre en pré-retraite ou les inciter à donner leur place à des jeunes avec des primes de départ qu'ils ont eu du mal à refuser.N'a-t-on pas entendu:" avec votre (trop) gros salaire, on pourrait embaucher deux jeunes..."
Les mentalités, les habitudes sont désormais encrées dans l'esprit de tous et personnellement je pense qu'il faudra de très nombreuses années pour, de nouveau, aprécier à leur juste valeur le savoir-faire des anciens, pour se persuader que la mémoire (d'entreprise ou autres) a une valeur difficilement quantifiable mais surement indispensable.
Les "baby-boomers" sont désormais sur la touche ou entrain d'y arriver; or, les jeunes, après 30 ans de laxisme et de démagogie, de faillite de l'école et/ou de l'université ne sont que peu prêt à prendre la relève, d'autant qu'on leur a mis dans la tête que la valeur TRAVAIL n'est plus d'actualité.
Aussi, il me semble que, rapidement, d'une situation de sur-effectif,nous allons nous retrouver dans une sitution de sous-effectif avec un nombre important de jeunes trentenaires incapables de trouver un emploi à la mesure de leur "non-formation", et c'est la société toute entière qui en supportera les conséquences.
NON, la loi ne résoudra pas le problème des quinquas; ancune loi n'a jamais fait changer rapidement les mentalités.
Comme de nombreuses autres questions fondamentales, c'est dans les années 80 qu'il aurait fallu s'en occuper.
Jean-Michel LAMBERT
Écrit par : Jean-Michel LAMBERT | 22/04/2008
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