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31/03/2008

MAM dans les médias

Michèle ALLIOT-MARIE, Ministre de l'Intérieur, de l'Outre Mer et des Collectivités Locales sera :

Au Grand Journal de Canal + ce Mardi 1 Avril de 19h15 à 19h50,

L'invitée de Christophe Barbier sur LCI de 8h10 à 8 h 50 ce mardi 1 Avril.

29/03/2008

Notre réunion du 28.03.08

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De Gauche à droite Daniel POULOU, Député, Henri LEVRÉRO CMD du Chene des pyrénées atlantiques, Michel HIRIART délégué aux sports de la commune de Ciboure, Mirentxu MARTINEZ suppléante de Daniel POULOU aux dernieres electiones cantonales

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 a gauche Pierre Marie NOUSBAUM chef de file de l'opposition à St Pée sur Nivelle

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35 personnes à notre réunion

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Notre invité Jean Pierre LABORDE rédacteur en chef à France info animateur de la tranche 4 h 7 h

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 A gauche Jean pierre CASTANIER élu sur la liste majoritaire à Hendaye, à droite Stéphane ALVAREZ, membre du conseil pastoral de notre paroisse

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Daniel POULOU a fait un tour d'horizon de l'actualité politique nationale

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J'ai été le relai de l'équipe nationale du Chene, pour expliquer les dernieres infos de notre mouvement.

27/03/2008

FORUMS du CHÊNE - Le gouvernement lance la concertation

Réforme des retraites - 2ème étape : Le gouvernement lance la concertation
Le "rendez-vous 2008" sur la réforme des retraites était inscrit dans la loi Fillon de 2003 qui a été adoptée malgré d'importantes manifestations, à la faveur notamment d’un mouvement syndical uni, celui-ci ayant finalement consenti à signer un accord.
Le ministre du Travail Xavier Bertrand organise des entretiens bilatéraux depuis le 27 mars, afin de "recueillir les propositions" des partenaires sociaux sur la nouvelle étape de la réforme des retraites, dont un point essentiel, l'allongement à 41 ans de la durée de cotisation d'ici 2012.
Il ne s'agit pas d'une négociation devant déboucher sur un accord : le gouvernement décidera seul in fine du contenu du texte qu'il veut présenter "avant la fin de la session parlementaire", qui doit, en principe, s’achever au début juillet. Les thèmes principaux sont : conditions de l'équilibre financier, allongement de la durée de cotisation, revalorisation des pensions et petites retraites.
  • Mais c’est surtout l'allongement de la durée de cotisation qui constitue un point d'achoppement prévisible avec certains syndicats. Que pensez-vous de cette mesure ?
  • La France a toujours l'un des taux d'emploi les plus faibles d'Europe. Les mesures prises depuis 2003 pour l'emploi des seniors vous paraissent-elles avoir eu l’effet escompté ?
  • Espérance de vie diminuée pour certains salariés : la question de la Pénibilité n’est toujours pas résolue. Que pensez-vous de ce dispositif ?
  • La dégradation des comptes de la branche vieillesse n’est toujours solutionnée. Malgré des mesures généreuses, le contexte semble à nouveau défavorable. Qu’en pensez-vous ? 

PARTICIPEZ !

ACCÈS AUX FORUMS DU CHÊNE


25/03/2008

Robert Grossmann raconte plus de quarante ans de gaullisme

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Robert Grossmann, L’Appel du gaullisme, éd. du Rocher, 2008

Robert Grossmann parle de Mai 68 vécu de l’autre coté des barricades. Etonnants entretiens historiques entre de Gaulle et celui qui, cinquante ans plus jeune que lui, lui promit de veiller à l’héritage.

Robert Grossmann, l’actuel président de la communauté urbaine de Strasbourg, n’a lui-même que vingt-cinq ans quand il décide de fonder l’UJP. L’idée est de renforcer la mobilisation gaulliste aux côtés des grands partis créés sous la houlette du général de Gaulle : le RPF (Rassemblement du peuple français) ou l’UNR (Union pour la nouvelle République) en s’appuyant sur les forces vives de la nation, c’est-à-dire les moins de trente-cinq ans. Pari réussi : l’UJP passe de 2 000 à près de 70 000 adhérents entre 1965 et 1975. Force de mobilisation déterminante, très présente au sein des universités, l’UJP assumera aussi la vocation d’une véritable école des cadres, d’où sortiront des figures politiques centrales à gauche comme à droite tels Michel Barnier, Michel Cazenave, Jean-Louis Bourlanges, Alain Carignon, Patrick Ollier.

24/03/2008

Jean Castaings, nouveau Président du Conseil général

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Doyen. S’il y a bien une qualification à laquelle on n’aurait pas pensé, c’est bien celle-là. Jean Castaings n’a vraiment pas l’air d’un doyen.


La première chose qui frappait, il y a déjà de nombreuses années, c’était ce ruban rouge à la boutonnière alors qu’il n’avait qu’une petite quarantaine. On se dit que cette Légion d’honneur-là ne dut pas être acquise à l’ancienneté. L’âge fait évidemment penser à la guerre d’Algérie. On suppose, car on n’a jamais osé le lui demander.

 

C’est que Jean Castaings n’appelle pas la familiarité. Il n’est ni hautain ni distant pourtant. Mais il a une attitude de réserve, n’a pas le verbe haut, ne se montre pas. C’est un homme sans oeillère, ouvert et convivial. Il sait écouter et répondre avec attention. On l’a rarement vu s’énerver en séance du Conseil général bien qu’il sache à l’occasion avoir le sang chaud ! Les dossiers présentés sont toujours très préparés, les interventions justes et étayées, rarement polémiques, d’une voix posée appelant l’écoute. S’il ne se montre pas, il a une forte présence. Silence bien souvent au Parlement de Navarre quand il parle. Et quand les interventions sont plus politiques que techniques, c’est toujours avec mesure.

Politiquement, c’est plutôt un conservateur tranquille. Gaulliste avant tout, par raison historique. Malgré son jeune âge, il est dans la lignée de ceux qu’on appela Barons du Gaullisme. Si sa fidélité au RPR puis à l’UMP n’a jamais été prise en défaut, il a toujours affiché sa loyauté envers ses alliés UDF.

Au moment où il quittait ses fonctions de Maire d’Urt, annonçant un retrait progressif des affaires publiques, Jean Castaings n’avait probablement pas l’idée qu’il terminerait cette partie de sa dense carrière comme Président du Conseil général. Sa doyenneté l’y a porté mais son mérite le justifie. Dans la période inédite qui s’ouvre pour l’institution départementale, qui devra bien d’une manière ou d’une autre être consensuelle, il devrait être l’homme par lequel les conflits ne passeront pas.


Respects, Président.
- par Jacques Saury

 

10/03/2008

Message de Michèle ALLIOT MARIE à Ingrid BETANCOURT