30/03/2013
Petit déjeuner débat Mars
Une quarantaine de militants et de sympathisants du Chêne, le mouvement de Michèle ALLIOT-MARIE, se sont retrouvés a Arcangues ce matin autour d'un petit déjeuner. Après un un accueil chaleureux du Maire Gaulliste d'Arcangues, Jean Michel COLO, Henri LEVRÉRO, avant de passer la parole a l'intervenant du jour, Fabien GAILLARD, notaire à Saint-jean-de-luz, a rappelé que l'effort national ne doit pas être une punition. Fabien GAILLARD a insisté sur la nécessité de la rigueur fiscale. Il ne suffit pas de gérer en "bon père de famille", la situation économique et fiscale de la France a besoin d'une réelle vision d'avenir pour rendre la France plus attractive, en réduisant le train de vie de l'Etat et en simplifiant la législation française devenue trop lourde et pénalisante voire paralysante. Certes il y aura peu d'augmentation de l'impot sur le revenu, mais les abattements fiscaux, notamment ceux qui permettaient jusqu'alors aux ménages de créer des emplois services, seront diminués ; toutes ces petites mesures cumulées pénaliseront énormément les classes moyennes tout en ne représentant qu'un placebo pour l'Etat au vu des économies qui sont à réalisées. Au lieu de générer des recettes, le gouvernement va réduire le pouvoir d'achat des classes moyennes, ce qui à terme sera générateur d'autant plus de chômage, avec le risque de voir disparaître tous les métiers de services à la personne. Quelle vision ambitieuse pour notre pays !
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29/03/2013
Réaction à la prestation de François HOLLANDE
"L'intervention de François Hollande a confirmé qu'il n'existait aucun cap dans la conduite du pays.
Enfonçant beaucoup de portes ouvertes et reniant ses propres engagements, il est davantage apparu comme un boutiquier gérant de façon hasardeuse les stocks de fin de mois, que comme un chef avec une stratégie.
Les Français ne sont pas dupes et attendent d'être rassurés sur leur quotidien et leur avenir.
La France mérite une autre ambition !"
Michèle ALLIOT-MARIE
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26/03/2013
Contributions aux thèmes nationaux du CHENE
Marcel PAQUET
Philosophe, écrivain
Essai sur L’Esprit de l’Azerbaïdjan
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23/03/2013
ce matin lors de la dédicace de Michèle Alliot-Marie
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18/03/2013
Contributions aux thèmes nationaux du CHENE
Thierry M Carabin
Écrivain
La promotion sociale
La promotion sociale était assurée lorsque l'école donnait des chances à ceux que leurs parents négligeaient. Reconstruire l'école avec une instruction réelle est une urgence vitale pour le pays.
Egalement, la promotion sociale passe par la formation permanente qui doit être retirée aux "instances paritaires". L'argent doit demeurer dans l'entreprise et celle-ci doit payer les formations exigées par les salariés au titre du DIF.
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17/03/2013
Contributions aux thèmes nationaux du CHENE
Anne LE BIHAN
En charge de l'accueil des nouveaux adhérents de la côte basque au sein de la fédération UMP des Pyrénées Atlantiques,
Déléguée du CHENE de la ville de BIARRITZ
Qu’est que la participation citoyenne ?
C’est l’action de prendre part, d’associer les citoyens au pouvoir, citoyen étant entendu comme toute personne jouissant dans l’Etat dont il relève, des droits civils et politiques et notamment du droit de vote.
Le référendum créé en 1958 par le général de Gaulle a permis de rendre la parole au peuple ; en 2003 ce référendum a été élargi aux communes, aux conseils généraux et conseils régionaux, leur permettant de consulter les citoyens sur un projet local, dont le résultat du vote a valeur de décision. Force est de constater que le recours au référendum, tant d’un point de vue national que local est très peu utilisé.
Hors la participation de chaque citoyen, me semble être le meilleur moyen d’investir l’électeur et d’éviter ou tout du moins de tenter d’amoindrir le désintérêt de nos concitoyens de la politique. En fait la participation citoyenne n’est envisageable qu’à partir du moment ou elle contribue à remettre de l’éthique dans la politique, ce qui permettrait de revenir à l’étymologie de la politique : la vie de la cité.
La participation citoyenne ou la démocratie participative a été lancée dans certaines collectivités territoriales par le biais des conseils de quartier, des assemblées de jeunes citoyens, des sections « je participe » sur les sites internet de certaines collectivités. Toutes ces mises en place de différentes formes de participation sont louables, malheureusement elles sont disparates tant dans l’esprit, sur la forme ou sur le fond. Pour que ces assemblées citoyennes aient un véritable rôle dans la vie de la cité, il serait souhaitable qu’elles soient généralisées sur l’ensemble du territoire et avec des modes de fonctionnement identiques ; que ces assemblées soient un lien permanent entre l’Etat, le politique et les citoyens. Pour l’heure dans bon nombre de cas, ce ne sont que des assemblées à caractère consultatif, ce qui au bout du compte ressemble plus à une volonté de se donner bonne conscience et de montrer une image plus démocratique du pouvoir.
L’interactivité mise en place sur les sites internet, n’a, encore une fois qu’un rôle consultatif, et se trouve limitée aux personnes, citoyennes ou non, ayant libre accès aux nouvelles technologies.
Faire circuler la parole c’est bien, agir c’est mieux, la parole sans action vaut le silence. Il serait utile de mettre en place des assemblées de citoyens, sur la forme d’une adhésion volontaire, avec des ordres du jour définis à l’avance permettant ainsi à chaque membre de pouvoir réfléchir au thème, au projet abordé. Cette assemblée, ne doit pas être limitée à un rôle consultatif, mais doit être un lieu d’échange, d’écoute de débat entre les citoyens, les politiques et les représentants des pouvoirs publics (directeurs de services, représentants de l’ordre public) à l’issue de chaque réunion ou pour clore le débat sur un dossier, un vote devrait avoir lieu ; vote qui doit tenir lieu de décision. Le politique donne la parole, dirige le débat, écoute ; les représentants des pouvoirs publics vérifient la faisabilité des propositions des citoyens. Charge au politique de défendre le dossier voté en assemblée des citoyens devant l’exécutif auquel il appartient ; l’exécutif devant demeurer dans son rôle de gouvernant, en validant ou pas le projet par un vote.
Le recours au référendum national devrait être utilisé plus souvent, notamment sur des sujets sociétaux, comme le mariage pour tous ou encore le droit de vote des étrangers. Le référendum est aussi un moyen de responsabiliser le citoyen face à un choix qui lui est proposé et non imposé ; tout en ayant la possibilité d’y participer ou pas.
Nous vivons dans une république faite de droits et de devoirs, cet équilibre ne peut se faire sans le respect de l’un et de l’autre. Nous avons un devoir d’appliquer la devise de notre république :
Liberté : le choix de participer ou pas, le droit de vote doit rester libre, dans un souci d’équité le vote blanc devrait être comptabilisé ;
Egalité : les citoyens pour participer doivent disposer du droit de vote, ces assemblées devraient être le reflet de la population qu’elles représentent, et respecter une répartition socioprofessionnelle ;
Fraternité : les assemblées devraient être intergénérationnelles pour permettre une transmission et ne pas être dogmatiques.
Le politique, une fois élu, est bien souvent coupé des réalités du terrain, et l’état, de part la lourdeur des textes, a tendance à le freiner, voire l’empêcher dans la mise en œuvre de ses projets. Ces assemblées de citoyens permettraient au politique de garder les pieds encrés dans la réalité, et de lui redonner cette capacité de créer d’envisager, qu’il a tendance à perdre au contact de la machine de l’état. L’engagement du citoyen dans la vie de la cité, permettrait au citoyen de prendre conscience des difficultés rencontrées par le politique pour mettre en place un projet, et de responsabiliser le citoyen, de le mettre au cœur de la vie de la cité, lui donnant la possibilité que sa parole se transforme en acte.
En remettant, l’homme, le citoyen au cœur de la politique, en l’impliquant davantage dans la gestion de la cité, peut être arriverons-nous à diminuer le taux d’abstention aux élections, les électeurs de facto devenant aussi des acteurs. Cet engagement du politique face au citoyen passe par une remise en question, à une certaine humilité, le politique ayant pour rôle d’écouter le citoyen et de faire la synthèse des dires et de faire rimer paroles avec actes.
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