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30/10/2010

Diner Débat de la branche des Pyrénées Atlantiques

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A l’initiative d’Henri LEVRÉRO, chargé de mission départemental et de son équipe, nous étions 90 à participer au repas mensuel du CHENE, au Trinquet Moderne à Bayonne. A cette occasion Vincent BRU, Maire de CAMBO LES BAINS et conseiller général du canton d’espelette nous a présenté la réforme des collectivités territoriales. Il y aura désormais 2 grands pôles de décisions, avec d’un côté la région et le département et de l’autre les intercommunalités et les communes. Les compétences seront redéfinies et plus distinctes, elles ne seront plus croisées, cependant les communes conserveront seules les compétences générales et seront amenées à s’autofinancer à hauteur de 50 % de leurs investissements, sachant qu’aujourd’hui le montant maximum est de 80 %. Cette réforme a pour objectif de diviser par 2 le nombre d’élus d’une part, et d’autre part une plus grande décentralisation de l’administration avec plus de lisibilité afin d’améliorer la proximité avec les administrés. Le député maire de Bayonne, Jean GRENET, nous a rappelé que le maire était avant tout un manager qui devait aller chercher l’argent là où il se trouvait. Quelques questions ont été posées auxquelles nos intervenants n’ont pas manqué de répondre. Bons nombre d’élus locaux nous ont fait l’honneur de se joindre à nous, Le Maire d’Urcuit Monsieur Barthélémy BIDEGARRAY ainsi que Paul BAUDRY, maire de BASSUSSARRY et président de la communauté de communes d’ERROBI.

Retrouvez les photos sur le lien ci-dessous

http://picasaweb.google.com/Henri.Levrero/CHENEOCTOBRE2010

 

 

27/10/2010

Michèle Alliot-Marie, etait l'invitée de Patrick Cohen dans le 7/9 de France Inter

19/10/2010

Michèle ALLIOT-MARIE était l'invitée ce matin de Jean pierre ELKABBACH sur Europe N° 1

13/10/2010

Michèle ALLIOT-MARIE était l'invitée ce matin de BOURDIN DIRECT sur RMC

10/10/2010

Michèle Alliot-Marie : «C'est un devoir d'être prête, si…»

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Michèle Alliot-Marie, vendredi dernier, dans son bureau au ministère, à Paris.

INTERVIEW paru ce soir dans le FIGARO - La garde des Sceaux manifeste son intérêt pour le poste de premier ministre. 

LE FIGARO. - À dix-huit mois de la présidentielle, faut-il un second souffle pour la fin du quinquennat?

Michèle ALLIOT-MARIE. - Il y a toujours le temps des premières réformes: les plus structurelles, les plus difficiles. Puis celui de la mise en perspective de l'acquis, et d'un nouvel élan. Depuis trois ans, le président de la République a voulu armer notre pays face aux défis de la modernité. Cela a nécessité des réformes nombreuses et lourdes, même si le calendrier parlementaire fait que la cohérence d'ensemble n'est pas encore totalement perceptible. Nous devons continuer pour adapter notre pays aux mutations mondiales, tout en montrant les enjeux aux Français. Enjeu de la concurrence économique mondiale avec l'impulsion à la recherche et à l'université, enjeu de l'allongement de la durée de la vie avec le dossier de la dépendance, enjeu de la cohésion nationale.

En manifestant contre la réforme des retraites, les Français donnent l'impression d'être allergiques au changement. Comment faire?

Les Français ont conscience d'être, sur beaucoup d'aspects, privilégiés par rapport à d'autres pays. Ils craignent que ce ne soit plus le cas demain. Il faut lutter contre ce pessimisme ambiant. Pour redonner foi en l'avenir, il faut valoriser nos atouts et faire redémarrer l'ascenseur social, notamment en relançant la promotion professionnelle dans la fonction publique comme dans le secteur privé.

Pensez-vous, comme Jean-François Copé et Alain Juppé, qu'un changement de gouvernance est nécessaire?

Tout dépend de ce que l'on entend par là. La gouvernance n'est, par nature, pas la même au moment où on a besoin d'impulser un fort élan de réformes que quand vient le temps de les conforter.

Jean-François Copé vise le secrétariat général de l'UMP. Un changement est-il souhaitable à la tête du parti?

Le groupe UMP de l'Assemblée travaille bien et a un bon président actif et créatif. Un parti majoritaire doit, par nature, être en phase avec l'action gouvernementale. Ce qui nuit à sa visibilité médiatique. Pour autant, Xavier Bertrand fait du bon travail notamment sur le terrain, et l'UMP fourmille d'idées, à ne pas confondre avec les ego. Chacun peut s'y exprimer et soutenir ses idées. À l'inverse, le PS est totalement en panne de proposition parce que son unité n'est que de façade. Elle ne tient que sur la photo.

Cet été, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et Gérard Larcher ont pourtant émis des doutes sur le virage sécuritaire. La majorité est-elle aussi unie que vous le dites?

Le discours de Grenoble a fait l'objet d'interprétations partielles et partiales, qui ont créé des malentendus. Une politique de sécurité c'est, comme l'a dit Nicolas Sarkozy, faire appliquer les mêmes lois à tous et par tous. Nous avons besoin d'une telle politique. Il faut tout mettre en œuvre pour assurer la sécurité de chacun de nos concitoyens. Évidemment, nous sommes, je l'espère, tous d'accord sur ce point.

Pensez-vous, comme Jean-François Copé, qu'il y a trop de ministres dans les instances dirigeantes de l'UMP?

Pas forcément. Cela assure une cohérence de l'action et une écoute par les ministres de la base. Le critère, c'est la disponibilité, le temps laissé par certaines responsabilités ministérielles.

Croyez-vous que le remaniement signe la fin de l'ouverture?

Le président de la République a voulu l'ouverture parce qu'il estime notre société menacée par un risque d'opposition frontale qui peut nuire à l'unité nationale et conduire à la violence. Aussi, il n'a pas pratiqué l'ouverture seulement au sein du gouvernement, mais au Parlement, à la Cour de comptes. Une personnalité qui a des compétences ne doit pas être écartée au motif qu'elle n'aurait pas une sensibilité de droite. A contrario, faire venir des gens de gauche, simplement parce qu'ils sont de gauche, n'aurait pas de sens.

Martin Hirsch et son livre sur les conflits d'intérêt ne sont-ils pas l'illustration des limites de l'ouverture?

À l'époque où je l'ai connu au gouvernement, je ne le voyais pas comme un homme à régler ainsi ses comptes avec tel ou tel. J'ai du mal à comprendre. Ce n'est pas ma façon de faire. Je règle mes comptes en direct, pas sur la place publique ni par-derrière à coup d'insinuations fielleuses. Cela fait peut-être partie du caractère un peu rugueux de la culture rugbystique qui est la mienne.

Sous la Ve République, une seule femme, Édith Cresson, a été premier ministre. Trouvez-vous cela normal?

Pour la première fois, une femme va être présidente du Brésil. Déjà au Chili, mon ex-collègue et amie, Michelle Bachelet, l'a été. Les évolutions sont peut-être plus rapides sur d'autres continents…

Si le président vous proposait le poste de premier ministre, seriez-vous prête à relever le défi?

Quand on arrive à un certain niveau de responsabilité politique, il faut se tenir informé de tous les grands dossiers et être prêt à répondre à toute demande. Depuis ma présidence du RPR, je me suis intéressée à tous les sujets, j'ai pris l'habitude de rencontrer des économistes, des chefs d'entreprise, des universitaires, les leaders syndicaux… Et je n'ai jamais cessé depuis, que ce soit à la Défense, à l'Intérieur ou aujourd'hui à la Chancellerie.

Vous vous sentez donc prête pour Matignon?

C'est un devoir d'être prête, si c'était la décision du président.

 

 

04/10/2010

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