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24/03/2010

Sur le thème : " La réforme des retraites"

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Gérard BALARDELLE

CIBOURE

Ce « serpent  de mer » doit être traité sérieusement ; et résoudre cette équation, une bonne fois pour les 30 à 40 ans à venir est primordial… !

Ne pas de nouveau faire une réformette (« … ont croit à une vraie rupture, et cela se termine par une transition … et la réforme est très en retrait par rapport aux objectifs initiaux. » - Alain JUPPE) mais traiter le sujet dans le fond à savoir remettre à plat l’ensemble des différents régimes :

-         des employés, cadres, …

-         des dirigeants (retraites « chapeaux),

-         des professions libérales,

-         des fonctionnaires, assimilés, (base de référence, durée des cotisations)

-         des élus (base de référence, durée des cotisations)

tout en gardant notre spécifiée, la retraite de base par répartition complétée par une (des) retraite(s) complémentaire(s).

Ne pas permettre de disparités entre les catégories aujourd’hui énormes, tout le monde doit avoir la même durée de cotisation, minimum 40 ans pour une retraite (régime général).

Autres axes :

      -    cotisations dès le premier euro, sans dérogation, 

-         revenir impérativement sur les 35 h 00,  à 40 h 00 minimum,

-         revenir sur la retraite à 60 ans, la porter à 65 ans au minimum et au-delà, laisser le choix du départ à la retraite en instituant un âge maxi pour tous – 70 ans ? – 75 ans ? –

Maintenir l’âge de 60 ans est d’une grande hypocrisie, l’âge d’entrée dans le monde professionnel est aujourd’hui dans la grande majorité à plus de 20 ans et, compte tenu de la durée des cotisations actuelles la retraite est supérieure de fait à 60 ans.

Sommes nous plus « délicats » que nos anciens, début de la vie active très souvent 12 ans, durée hebdomadaire de travail plus de 50 h 00, retraite à 65 ans (quelques exceptions, limitées, pour certains emplois très pénibles), travaux beaucoup plus pénibles (peux mécanisés, voir pas du tout).

Que des améliorations aient eu lieux c’est très bien et heureusement mais, n’avons-nous pas atteint un point de non retour ? compte tenu des situations, démographique et, économique. Il ne semble pas que ce soit le cas, il est encore temps de se ressaisir mais très rapidement.

 

Il est dommage d’avoir perdu tant de temps en tergiversation. N’y aurait-il pas fallut le faire il y a quelques mois ? Il est certain qu’à deux (2) ans des prochaines échéances électorales il y a un risque mais tant pis, IL IMPÉRATIF DE LE FAIRE, il y va de l’intérêt national et de la pérennité du système.

 

ALLONS COURAGE.

 

 

 

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